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* Les récits de Jeanine - chapitre 2
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Le hasard a voulu qu'une amie me présenta Roger, un
après-midi d'avril. Nous étions allés en bande prendre le thé à la
campagne. Immédiatement il m'invita à danser au son du petit trio
musical.
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Le hasard a voulu qu'une amie me présenta Roger, un après-midi d'avril.
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Nous étions allés en bande prendre le thé à la campagne. Immédiatement
il m'invita à danser au son du petit trio
musical.Grand, pas particulièrement beau, mais avec
beaucoup de charme, il me surprit par sa volonté de me
plaire.Au retour il me raccompagna chez mes parents,
m'embrassa tendrement sous mon portail, et m'invita pour déjeuner le
lendemain.Ce soir-là aussitôt dans mon petit lit,
ferme mais douillet, je me caressais furieusement. Les jambes allongées,
les cuisses à peine écartées, deux doigts de chaque coté de mes lèvres
frottant mon clitoris. Je jouissais, en silence, à plusieurs reprises en
pensant à lui. Mon dernier orgasme explosa comme à l'habitude, avec mes
cuisses serrées et mes jambes tendues, chevilles
croisées.Ce soir-là, ma jouissance était si intense,
que mon bassin se souleva et mon corps se cambra sur le matelas. Cette
belle journée m'avait épuisée...Le lendemain, nous
avons déjeuné dans une épicerie qui préparait de succulentes baguettes
bien fraîches, remplies de viandes variées. Il me proposa d'aller, le
week-end suivant, en voyage organisé, visiter les châteaux de la
Loire.Mes parents étant très stricts, il me fallut
recourir à cette même amie pour qu'elle me serve d'alibi afin qu'ils
autorisent ce petit voyage. J'avais 24 ans et gagnais ma vie depuis
l'âge de 18...... ..Arrivés a l'hôtel en début
d'après-midi, notre grand lit fut témoin de nos premiers
ébats.Après les préliminaires, abrégés par
l'excitation réciproque d'un amour nouveau, je me retrouvais toute
mouillée. Tendrement il me pénétra profondément et parvint à se retenir
pendant un long moment, se retirant juste avant
d'éjaculer.Malgré ses efforts, j'étais déçue: une
fois de plus, ma jouissance n'était pas
complète.Pendant qu'il se douchait, je me repris. La
peur d'être découverte, multiplia l'intensité de mes deux orgasmes
simultanés.Au long du dîner, Roger reconnut qu'il ne
m'avait pas fait jouir pleinement .C'est alors, qu'il
m'expliqua qu'un amour d'adolescent, une jeune américaine qui se
masturbait depuis sa plus tendre enfance, lui avait enseigné une manière
de la satisfaire complètement, elle qui ne pouvait aboutir, que par ses
propres caresses. Fort de cette expérience, il me fera
jouir....Ne lui ayant pas avoué mon addiction au
plaisir solitaire, aveu que je fis trois semaines plus tard, son
intuition, seule, lui avait permis de découvrir mon petit
secret.Après cet excellent dîner bien arrosé, notre
grand lit nous accueillit à nouveau.Roger se révéla
particulièrement sensuel.Il embrassa mes seins,
mordilla mes tétons durcis par le désir, puis descendit lentement vers
mon minou, tout trempé.Je sentis ses doigts
délicatement écarter les lèvres de mon vagin, offrant mon clitoris gorgé
à sa bouche. Il passa sa langue, doucement, sur toute la hampe, depuis
la base jusqu'au capuchon qu'il roula entre ses lèvres, découvrant avec
précaution et respect son extrémité ultra sensible. Je frémissais à
chaque fois que le bout de sa langue frôlait cette partie de mon
bourgeon.C'était mon premier cunni, ma première
minette.J'implorais pour qu'il continua, mais il
avait d'autres projets......Bientôt, ses caresses se
firent plus légères, à peine perceptibles, moins précises, et lentement,
il retira sa langue et ses lèvres de mon minou pour m'embrasser à pleine
bouche et me faire savourer mon arôme.J'étais
surprise par ce goût agréable, légèrement salé qui m'excitait de plus en
plus...!!Sans se presser, il s'agenouilla entre mes
cuisses relevés, écartées pour le recevoir. Il me pénétra, en douceur,
et me remplit entièrement.Au bout de quelques
instants, il me fit étendre les jambes, les encadra des siennes, son
sexe toujours au plus profond de moi-même. Avec ses genoux il m'obligea
à resserrer les cuisses pour mieux le sentir. Enfin, il allongea ses
jambes et, appuyant ses pieds contre les miens, il fit en sorte que son
membre comprimait et frictionnait mon clitoris à chaque nouvelle
pénétration.Très rapidement, une jouissance, comme je
n'en avais jamais connue, envahit tous mon corps, telle une marée
montante. Je tremblais sans pouvoir me contrôler.Le
souffle entrecoupé, un râle de plaisir s'échappa de ma
gorge.Roger se retira et se répandit en appuyant son
sexe contre mon ventre, les spasmes de son éjaculation ondulants à
l'unisson avec les dernières vagues de mon orgasme et prolongeait ainsi
notre plaisir.C'était ma première jouissance par un
homme après sept années de tentatives
frustrées..J'étais assouvie, mais malgré tout,
lorsqu'il s'en fut à la salle de bains, je me fit jouir à nouveau, mes
cuisses emprisonnant fermement l'agitation frénétique de mes
doigts.C'était très, très bon, mais aussi, j'étais
devenue beaucoup moins silencieuse qu'avant......Le
reste du voyage se déroula comme dans un beau rêve. Amboise,
Chennonceau, Blois, servirent de cadre à un couple insouciant,
extrêmement heureux, à une femme comblée.Le retour
fut triste.L'autocar, pris dans un embouteillage,
nous déposa avec quelques heures de retard à notre point
d'arrivée.Mes parents, inquiets, me firent une
remontrance exemplaire.Étrangement cela ne
m'importait plus. J'avais décidé de quitter le bercail à la première
occasion.Grâce à une collègue de travail j'avais
trouvé une petite chambre chez des particuliers, non loin d'où habitait
Roger et sa mère.