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* Une deuxième première fois
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[[http://qzine.fr/wp-content/uploads/2015/11/Zopiak-Yaoi1.jpg]]Mes
chers amis lecteurs, puisque ce fanzine est l'endroit idéal pour
raconter de belles histoires, les pages suivantes seront le boudoir
accueillant de mes confidences libertines.Le récit
que je vais vous livrer, s'il est récit d'une découverte, ne sera pas
pour autant empreint de candeur, je n'ai rien de l'Eugénie fraîchement
déniaisée, je tiendrai plutôt du jeune faune... Mais venons en aux faits
: je vais vous livrer le témoignage de la première fois que j'ai couché
avec un homme.Un ami d'amis rencontré il y a quelques
années. Il m'a toujours plu et ce malgré ma timidité farouche qui a
néanmoins la fâcheuse tendance à disparaître avec l'absorption de
grandes quantités d'alcool. Nous nous sommes souvent taquinés mais les
obligations de couple de l'un ou l'autre nous ont toujours empêché de
conclure.Ce soir là, je venais d'arriver à Toulouse,
ville que j'avais abandonnée pour des raisons estudiantines, et je
passais une soirée chez des amis. Alors que les festivités battent leur
plein, l'interphone sonne, je décroche et reconnais la voix. A peine le
bellâtre arrivé, le jeu de séduction commence. Nous passons notre temps
à nous bouffer du regard, à nous sourire, à nous rapprocher.
Immanquablement nous nous embrassons.J'ai déjà
embrassé des garçons mais là, c'est particulier. Je me sens bien avec
lui. Nous nous échappons rapidement de cette fête pour poursuivre chez
lui. Le chemin a été rudement long, entrecoupé d'embrassades
passionnées...Enfin dans ta piaule! C'est dans
l'antre de la bête que mon piège se referme et que je vais consentir à
le laisser me dévorer. Que le festin commence!A peine
la porte fermée, il se jette sur moi, mange ma bouche, aspire mes
lèvres, tète la sève de mon désir qui suinte par les commissures. Plaqué
au mur, je suis la vilaine bête, prise dans les filets d'une araignée
qui marche lentement vers son triomphe, l'eau à la
bouche.Sa jambe se place entre mes cuisses et il
plaque sa hanche juste à cet endroit chaud qui se gonfle sous l'effet du
désir. Il lève mon marcel jusqu'au dessus de ma tête de sorte que mes
bras soient encore empêtrés dans le vêtement. Dans cette posture
vulnérable, mon buste lui est offert, il l'attrape dans ses mains, me
bouffe le cou, lèche ma sueur, descend de sa langue dardée dans mes
poils, amuse mes tétons. Le nez plongé dans sa crinière, j'inspire une
grande bouffée d'air pour m'emplir de son parfum, baisse la tête pour
tenter de mordiller une oreille.Tandis qu'il s'occupe
de dévêtir mon cul, je me sépare de mon marcel. Ses mains enlacent mon
bassin, il embrasse mon
sexe.[[http://qzine.fr/wp-content/uploads/2015/11/Zopiak-Yaoi3-1024x722.jpg]]Mon
cœur bat, ma respiration est saccadée, haletante. Je lui ôte son
tee-shirt et ramène sa bouche contre la mienne. Nous nous embrassons
tendrement, encore une fois avant de nous bouffer du regard. Je me noie
un instant dans ses iris bleutés que je distingue à peine dans la
pénombre, il me sourit de sa bouche finement ciselée. Je comprends que
nous sommes deux à attendre ce moment depuis des mois. Nous, finissons
de nous dévêtir vite pour gagner le lit.Une aura
diffuse de douceur émane de ce corps de danseur, de ses épaules, ses
bras fins et dessinés, de ses mains...Pas de hanches qui ressortent...
Pas de seins dodus à attraper... Une silhouette plus ferme que celle des
femmes, sculptée... Différemment.Je suis sans repère,
mais pas sans suite, je m'habitue vite à l'étrangeté de ce corps inconnu
et trouve rapidement où mettre mes mains.Alors que je
suis allongé contre lui, j'attrape son sexe d'une main qui se veut ferme
pour cacher l'hésitation de la premier fois. Je sens entre mes doigts
que sa verge est plus grosse que la mienne, et ce touché m'est étrange :
j'enserre un sexe d'homme qui n'est pas le mien, une hampe inconnue à ma
main, douce et chaude, différente.L'excitation efface
vite la maladresse de mes gestes. Je veux sa bite dans ma bouche, dans
mon cul!Alors j'enjambe son corps pour me placer
dessus, le chevauche, l'embrasse dans le cou, remonte jusqu'à son lobe
pour glisser au creux de son oreille“ encule moi
”.Il me sourit et tente d'attraper le nécessaire sur
une étagère à coté du lit, gêné par le poids de mon corps sur le sien.
Je mords son bras et attrape préservatif et lubrifiant avant
lui.Dans ce tumulte, j'ouvre l'emballage avec les
dents et, d'une main pose la capote sur le bout de son sexe. Mes doigts
descendent d'un geste jusqu'à la base de sa hampe, l'habillent comme on
roule un bas sur la jambe d'une femme. Lui, passe deux doigts entre mes
fesses. Etale le liquide qui me surprend, m'arrache une contraction des
muscles... C'est froid! J'en prends un peu dans mes mains pendant qu'il
amuse mon petit trou et, de cette main qui prend de plus en plus
d'assurance, je lubrifie son sexe dans un geste
masturbatoire.[[http://qzine.fr/wp-content/uploads/2015/11/Zopiak-Yaoi2-1024x722.jpg]]Je
me laisse tomber, m'empale sur cette pointe qui entre d'un coup, vif,
tant il écarte mes fesses. Il m'arrache une inspiration
bruyante.J'ai eu mal qu'il entre en moi sans me
préparer. Il le voit, m'attire dans ses bras pour me serrer contre lui.
Je m'y abandonne. Je sens dans mon cul dilaté cette verge chaude qui
appuie sur ma prostate.La douleur est passagère et
mon cul commence déjà à s'agiter. J'ai faim de lui, il est en moi et
c'est bon, terriblement excitant. Je sens ma bite qui coule sur son
ventre, dans ses poils. Je me redresse, le chevauche en amazone. Je
donne des coups de reins. Ça tire, ça chauffe, j'ai des fourmis dans
tout le bas ventre. Je découvre ce plaisir qui m'est inconnu. Je remue
de plus en plus fort. Contracte mes muscles pour la sentir bien en moi,
la serrer bien fort pour n'en perdre une miette. Je pose mes mains sur
son torse, pince ses tétons. Il gémit. Je suis dans un état
terrible.Je me vois à la place de ces filles qui
s'empalent sur moi m'offrant les mouvements mutins de leurs seins qui
rebondissent au rythme du va et vient, m'offrant leur fesses à saisir, à
griffer... Cette pensée est très grisante. C'est moi qui chevauche mon
bel étalon, c'est moi qui commande et je le vois dans son regard, je
retiens ses mains, serre ses poignets . Je me demande bien comment on
peut se dire “ passif ” dans une telle situation.Je
m'arrête, le fixe droit dans les yeux, l'embrasse et, le visage contre
le sien, lui demande “ prends moi à quatre pattes
”.Il se place derrière moi, m'intime l'ordre de me
cambrer bien et, quand il décide que mon cul lui est bien offert, il
revient en moi. Entre d'un coup, mais cette fois-ci, sans douleur. Je
découvre de nouvelles sensations. Je n'ai plus la maîtrise sur le
mouvement, la pénétration est plus forte, plus... De plus en plus... Je
le sens plaqué sur ma chair, étant dans une mezzanine, il est obligé
d'être collé contre moi, me caresse, embrasse mon dos, me lèche. Je me
surprends à gémir, de plus en plus fort.Une sensation
de plaisir inconnu monte en moi. J'ai de moins en moins le contrôle. Je
tremble, me contracte. Je défaille. C'est trop bon. Il me lime rudement.
Je suis étourdi quand soudain quelque chose me traverse depuis le fond
de mes entrailles. Un choc électrique, nerveux, qui remonte le long de
l'épine dorsale. Tout se contracte, plusieurs
fois.Mes gémissements deviennent des cris que
j'étouffe en mordant l'oreiller. J'ai chaud, je tremble comme une
feuille et, de mon sexe coule la sève. J'ai joui par le cul pour la
première fois.Encore vacillant, je le sens qui se
retire. Je le pousse à s'allonger de nouveau, sur le dos. Sa bite est
toujours dressée.Je lui ôte le préservatif pour le
finir avec ma bouche. Je veux découvrir la sensation qu'ont les filles
qui prennent mon sexe dans leur bouche. Je veux qu'il jouisse là! Je
lèche minutieusement, mordille, aspire son sexe profondément, de toute
sa longueur.De ma main droite, j'attrape ses
couilles, les caresse. Ma langue ne les délaisse pas non plus, les amuse
de son bout pointu, j'y dépose mes lèvres, aspire la peau, revient vers
son sexe. Il m'attrape par les cheveux, sa main se referme avec fermeté,
ses hanches bougent forçant ma bouche à être pénétrée jusqu'au
fond.Je pompe sagement, attendant mon dû avec
gourmandise. Je sens qu'il va défaillir. Il me le dit dans un râle
abandonné et je continue de plus belle. Son autre main saisit le drap,
se crispe, il gémit. Son corps s'arque, ses muscles se contractent et il
décharge dans ma bouche, me remplit de sa
semence.Malgré un haut le cœur de surprise, j'avale
fièrement cette manne masculine que je lui ai arrachée sauvagement. Le
goût surprend autant que peut surprendre le sexe d'une femme que l'on
lèche pour la première fois. Il faut que je boive...
Une fois rassasiés de sexe et d'eau fraîche, nous nous lovons l'un
contre l'autre dans son cocon de luxure. Je l'embrasse dans la nuque, il
tire mes mains contre son ventre, je serre dans mes bras mon bel amant.
Nous nous embrassons encore avant que la fatigue ne vienne nous cueillir
là, dans ce délicieux désordre que je n'oublierai jamais.
Texte: Solune, illus : Zopiak.
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les sondages Qzine ont aussi
[[http://sondages.qzine.fr/20/orientation-sexuelle][un questionnaire sur
l'orientation sexuelle]] auquel nous vous invitons à répondre pour avoir
une meilleure vue d'ensemble sur les différentes orientations sexuelles
existantes.