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Tykayn 2025-02-20 19:09:50 +01:00 committed by tykayn
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@ -3,8 +3,8 @@
# https://sass-lang.com
sass templates/styles_src/style_general.scss templates/styles/style_general.css
for i in $(ls html-websites);
do
echo "copier templates/styles/style_general.css vers html-websites/$i/style.css"
cp templates/styles/style_general.css html-websites/$i/style.css;
done;
for i in $(ls html-websites); do
echo "copier le style général et le js principal vers html-websites/$i/"
cp templates/styles/style_general.css html-websites/$i/style.css
cp templates/js/main_script.js html-websites/$i/main_script.js
done

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@ -24,10 +24,7 @@
:CUSTOM_ID: les-récits-de-jeanine---chapitre-1
:END:
** Préambule
En 2007, alors que nous écrivions la première édition du fanzine !Q n°4 sur la masturbation et les Sextoys dont les
stocks sont aujourd'hui tous vendus, je fus contacté pour la première
fois par la mystérieuse Jeanine, qui souhaita faire partager ses
tranches de vie en une dizaine de chapitres.
En 2007, alors que nous écrivions la première édition du fanzine !Q n°4 sur la masturbation et les Sextoys dont les stocks sont aujourd'hui tous vendus, je fus contacté pour la première fois par la mystérieuse Jeanine, qui souhaita faire partager ses tranches de vie en une dizaine de chapitres.
- tykayn
@ -37,11 +34,12 @@ tranches de vie en une dizaine de chapitres.
Mon récit d'expériences vécues est strictement véridique, pour autant
seulement les noms des personnes et des lieux ont été changés.
Je m'appelle Jeanine, et je suis mariée depuis fort longtemps avec Roger, mon complice, mon confident. Depuis l'âge de douze/treize ans je me caresse assidûment le minou et suis esclave des jouissances que me donne mon clitoris. Il me faut jouir plusieurs fois de suite
pour calmer ma libido et me sentir assouvie.Personne ne m'a initié. Seule dans mon lit, un léger picotement me porta à frictionner mon entre jambe, maladroitement, et petit à petit, un plaisir inconnu a commencé par m'envahir. Au bout de quelque temps, ayant pris goût à cette douce sensation, j'avais raffiné les caresses, elles étaient plus précises, plus mesurées, et soudain..... un
orgasme à déferlé du bas ventre jusque à ma gorge.
Je m'appelle Jeanine, et je suis mariée depuis fort longtemps avec Roger, mon complice, mon confident. Depuis l'âge de douze/treize ans je me caresse assidûment le minou et suis esclave des jouissances que me donne mon clitoris. Il me faut jouir plusieurs fois de suite pour calmer ma libido et me sentir assouvie. Personne ne m'a initié. Seule dans mon lit, un léger picotement me porta à frictionner mon entre jambe, maladroitement, et petit à petit, un plaisir inconnu a commencé par m'envahir. Au bout de quelque temps, ayant pris goût à cette douce sensation, j'avais raffiné les caresses, elles étaient plus précises, plus mesurées, et soudain..... un orgasme à déferlé du bas ventre jusque à ma gorge.
Sans me douter de la nature sexuelle de mon petit jeu intime, je me trouvais bientôt asservie à cette généreuse esclavitude..... et je continue à l'être, même aujourd'hui. Je me masturbais presque tous les soirs allongée sur le dos les jambes étendues, les cuisses à peine écartées, les doigts de mes deux mains de chaque côté des lèvres, enveloppant mon clitoris qui est très sensible. Le massage synchronisé de mes doigts et la pression adoucie par les grosses lèvres me permettait de contrôler et prolonger ma jouissance vers son paroxysme.
Mes orgasmes étaient silencieux, le corps secoué par des spasmes, un soupir peut être, pas plus. Afin d'intensifier mon plaisir,
pour ma dernière jouissance, je resserrais mes cuisses, et souvent même je les croisais. C'était un plaisir extraordinaire. Vingt ans plus tard, une tendre amie m'a enseigné d'autres méthodes plus traditionnelles de se masturber, seule ou mutuellement Et aussi d'autres zones érogènes à stimuler.
Mes orgasmes étaient silencieux, le corps secoué par des spasmes, un soupir peut être, pas plus. Afin d'intensifier mon plaisir, pour ma dernière jouissance, je resserrais mes cuisses, et souvent même je les croisais. C'était un plaisir extraordinaire. Vingt ans plus tard, une tendre amie m'a enseigné d'autres méthodes plus traditionnelles de se masturber, seule ou mutuellement Et aussi d'autres zones érogènes à stimuler.
Jusqu'à ce jour je termine toujours ma dernière jouissance à deux mains, les chevilles croisées, et souvent même les cuisses serrées, croisées au dessus des genoux, soulevant, au dernier moment, mon bassin, pour pouvoir extraire le maximum de plaisir de mon orgasme. Quelques années plus tard, j'avais 18 ans, un jeune homme me dépucela et malgré tous ses efforts, je n'arrivais pas à jouir pleinement en faisant l'amour avec lui, ni même avec les trois autres qui le suivirent. Aussitôt seule, je me masturbais pour finalement assouvir ce désir qu'ils avaient allumé en moi. Ceci changea quand je connus Roger qui plus tard devint mon mari, compréhensif, initiateur de tous mes sens.

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@ -30,11 +30,11 @@ Au retour il me raccompagna chez mes parents, m'embrassa tendrement sous mon por
Ce soir-là aussitôt dans mon petit lit, ferme mais douillet, je me caressais furieusement. Les jambes allongées, les cuisses à peine écartées, deux doigts de chaque coté de mes lèvres frottant mon clitoris. Je jouissais, en silence, à plusieurs reprises en pensant à lui. Mon dernier orgasme explosa comme à l'habitude, avec mes cuisses serrées et mes jambes tendues, chevilles croisées.
Ce soir-là, ma jouissance était si intense, que mon bassin se souleva et mon corps se cambra sur le matelas. Cette belle journée m'avait épuisée...
Ce soir-là, ma jouissance était si intense, que mon bassin se souleva et mon corps se cambra sur le matelas. Cette belle journée m'avait épuisée
Le lendemain, nous avons déjeuné dans une épicerie qui préparait de succulentes baguettes bien fraîches, remplies de viandes variées. Il me proposa d'aller, le week-end suivant, en voyage organisé, visiter les châteaux de la Loire.
Mes parents étant très stricts, il me fallut recourir à cette même amie pour qu'elle me serve d'alibi afin qu'ils autorisent ce petit voyage. J'avais 24 ans et gagnais ma vie depuis l'âge de 18...... ..
Mes parents étant très stricts, il me fallut recourir à cette même amie pour qu'elle me serve d'alibi afin qu'ils autorisent ce petit voyage. J'avais 24 ans et gagnais ma vie depuis l'âge de 18
Arrivés a l'hôtel en début d'après-midi, notre grand lit fut témoin de nos premiers ébats.
@ -45,7 +45,7 @@ Pendant qu'il se douchait, je me repris. La peur d'être découverte, multiplia
Au long du dîner, Roger reconnut qu'il ne m'avait pas fait jouir pleinement.
C'est alors, qu'il m'expliqua qu'un amour d'adolescent, une jeune américaine qui se masturbait depuis sa plus tendre enfance, lui avait enseigné une manière de la satisfaire complètement, elle qui ne pouvait aboutir, que par ses propres caresses. Fort de cette expérience, il me fera jouir....
C'est alors, qu'il m'expliqua qu'un amour d'adolescent, une jeune américaine qui se masturbait depuis sa plus tendre enfance, lui avait enseigné une manière de la satisfaire complètement, elle qui ne pouvait aboutir, que par ses propres caresses. Fort de cette expérience, il me fera jouir
Ne lui ayant pas avoué mon addiction au plaisir solitaire, aveu que je fis trois semaines plus tard, son intuition, seule, lui avait permis de découvrir mon petit secret.

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@ -27,12 +27,12 @@
Roger devant se déplacer en Écosse pour son travail, me demanda de l'accompagner. Afin de réduire les frais, il échangea la réservation qu'il avait dans un bon hôtel pour une chambre double dans un modeste "bed and breakfast" ainsi que deux passages sur un autre vol plus économique.
C'était mon premier voyage en avion, et en plus de nuit. Je n'en menais pas large et me pelotonnais contre lui. .
C'était mon premier voyage en avion, et en plus de nuit. Je n'en menais pas large et me pelotonnais contre lui.
Cependant, la perspective de trois jours ensemble me redonnait du courage.
Glasgow est une ville industrielle, peu touristique. L'hôtel était simple mais propre. Notre chambre spacieuse avec son grand lit, nous sembla un paradis, surtout après plus de deux semaines de "chasteté", ou tous les soirs, nous devions rentrer dormir chez nos parents respectifs.
Comme il était déjà assez tard, et que le snack dans l'avion n'était pas trop mauvais, nous fîmes juste un brin de toilette et hop!, les deux sous l'édredon...
Comme il était déjà assez tard, et que le snack dans l'avion n'était pas trop mauvais, nous fîmes juste un brin de toilette et hop!, les deux sous l'édredon
Il me surprit avec des nouvelles caresses révélant d'autres zones érogènes de mon anatomie. J'étais bientôt trempée.

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@ -13,4 +13,42 @@ document.addEventListener('DOMContentLoaded', function() {
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