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:CUSTOM_ID: les-récits-de-jeanine---chapitre-2
:END:
Le hasard a voulu qu'une amie me présenta Roger, un
après-midi d'avril. Nous étions allés en bande prendre le thé à la
campagne. Immédiatement il m'invita à danser au son du petit trio
musical.
Le hasard a voulu qu'une amie me présenta Roger, un après-midi d'avril. Nous étions allés en bande prendre le thé à la campagne. Immédiatement il m'invita à danser au son du petit trio musical.
Grand, pas particulièrement beau, mais avec beaucoup de charme, il me surprit par sa volonté de me plaire.
Au retour il me raccompagna chez mes parents, m'embrassa tendrement sous mon portail, et m'invita pour déjeuner le lendemain.
Ce soir-là aussitôt dans mon petit lit, ferme mais douillet, je me caressais furieusement. Les jambes allongées, les cuisses à peine écartées, deux doigts de chaque coté de mes lèvres frottant mon clitoris. Je jouissais, en silence, à plusieurs reprises en pensant à lui. Mon dernier orgasme explosa comme à l'habitude, avec mes cuisses serrées et mes jambes tendues, chevilles croisées.
Ce soir-là, ma jouissance était si intense, que mon bassin se souleva et mon corps se cambra sur le matelas. Cette belle journée m'avait épuisée...
Le lendemain, nous avons déjeuné dans une épicerie qui préparait de succulentes baguettes bien fraîches, remplies de viandes variées. Il me proposa d'aller, le week-end suivant, en voyage organisé, visiter les châteaux de la Loire.
Mes parents étant très stricts, il me fallut recourir à cette même amie pour qu'elle me serve d'alibi afin qu'ils autorisent ce petit voyage. J'avais 24 ans et gagnais ma vie depuis l'âge de 18...... ..
Arrivés a l'hôtel en début d'après-midi, notre grand lit fut témoin de nos premiers ébats.
--------------
Après les préliminaires, abrégés par l'excitation réciproque d'un amour nouveau, je me retrouvais toute mouillée. Tendrement il me pénétra profondément et parvint à se retenir pendant un long moment, se retirant juste avant d'éjaculer.
Malgré ses efforts, j'étais déçue: une fois de plus, ma jouissance n'était pas complète.
Le hasard a voulu qu'une amie me présenta Roger, un après-midi d'avril.
Pendant qu'il se douchait, je me repris. La peur d'être découverte, multiplia l'intensité de mes deux orgasmes simultanés.
Au long du dîner, Roger reconnut qu'il ne m'avait pas fait jouir pleinement .
Nous étions allés en bande prendre le thé à la campagne. Immédiatement
il m'invita à danser au son du petit trio
musical.Grand, pas particulièrement beau, mais avec
beaucoup de charme, il me surprit par sa volonté de me
plaire.Au retour il me raccompagna chez mes parents,
m'embrassa tendrement sous mon portail, et m'invita pour déjeuner le
lendemain.Ce soir-là aussitôt dans mon petit lit,
ferme mais douillet, je me caressais furieusement. Les jambes allongées,
les cuisses à peine écartées, deux doigts de chaque coté de mes lèvres
frottant mon clitoris. Je jouissais, en silence, à plusieurs reprises en
pensant à lui. Mon dernier orgasme explosa comme à l'habitude, avec mes
cuisses serrées et mes jambes tendues, chevilles
croisées.Ce soir-là, ma jouissance était si intense,
que mon bassin se souleva et mon corps se cambra sur le matelas. Cette
belle journée m'avait épuisée...Le lendemain, nous
avons déjeuné dans une épicerie qui préparait de succulentes baguettes
bien fraîches, remplies de viandes variées. Il me proposa d'aller, le
week-end suivant, en voyage organisé, visiter les châteaux de la
Loire.Mes parents étant très stricts, il me fallut
recourir à cette même amie pour qu'elle me serve d'alibi afin qu'ils
autorisent ce petit voyage. J'avais 24 ans et gagnais ma vie depuis
l'âge de 18...... ..Arrivés a l'hôtel en début
d'après-midi, notre grand lit fut témoin de nos premiers
ébats.Après les préliminaires, abrégés par
l'excitation réciproque d'un amour nouveau, je me retrouvais toute
mouillée. Tendrement il me pénétra profondément et parvint à se retenir
pendant un long moment, se retirant juste avant
d'éjaculer.Malgré ses efforts, j'étais déçue: une
fois de plus, ma jouissance n'était pas
complète.Pendant qu'il se douchait, je me repris. La
peur d'être découverte, multiplia l'intensité de mes deux orgasmes
simultanés.Au long du dîner, Roger reconnut qu'il ne
m'avait pas fait jouir pleinement .C'est alors, qu'il
m'expliqua qu'un amour d'adolescent, une jeune américaine qui se
masturbait depuis sa plus tendre enfance, lui avait enseigné une manière
de la satisfaire complètement, elle qui ne pouvait aboutir, que par ses
propres caresses. Fort de cette expérience, il me fera
jouir....Ne lui ayant pas avoué mon addiction au
plaisir solitaire, aveu que je fis trois semaines plus tard, son
intuition, seule, lui avait permis de découvrir mon petit
secret.Après cet excellent dîner bien arrosé, notre
grand lit nous accueillit à nouveau.Roger se révéla
particulièrement sensuel.Il embrassa mes seins,
mordilla mes tétons durcis par le désir, puis descendit lentement vers
mon minou, tout trempé.Je sentis ses doigts
délicatement écarter les lèvres de mon vagin, offrant mon clitoris gorgé
à sa bouche. Il passa sa langue, doucement, sur toute la hampe, depuis
la base jusqu'au capuchon qu'il roula entre ses lèvres, découvrant avec
précaution et respect son extrémité ultra sensible. Je frémissais à
chaque fois que le bout de sa langue frôlait cette partie de mon
bourgeon.C'était mon premier cunni, ma première
minette.J'implorais pour qu'il continua, mais il
avait d'autres projets......Bientôt, ses caresses se
firent plus légères, à peine perceptibles, moins précises, et lentement,
il retira sa langue et ses lèvres de mon minou pour m'embrasser à pleine
bouche et me faire savourer mon arôme.J'étais
surprise par ce goût agréable, légèrement salé qui m'excitait de plus en
plus...!!Sans se presser, il s'agenouilla entre mes
cuisses relevés, écartées pour le recevoir. Il me pénétra, en douceur,
et me remplit entièrement.Au bout de quelques
instants, il me fit étendre les jambes, les encadra des siennes, son
sexe toujours au plus profond de moi-même. Avec ses genoux il m'obligea
à resserrer les cuisses pour mieux le sentir. Enfin, il allongea ses
jambes et, appuyant ses pieds contre les miens, il fit en sorte que son
membre comprimait et frictionnait mon clitoris à chaque nouvelle
pénétration.Très rapidement, une jouissance, comme je
n'en avais jamais connue, envahit tous mon corps, telle une marée
montante. Je tremblais sans pouvoir me contrôler.Le
souffle entrecoupé, un râle de plaisir s'échappa de ma
gorge.Roger se retira et se répandit en appuyant son
sexe contre mon ventre, les spasmes de son éjaculation ondulants à
l'unisson avec les dernières vagues de mon orgasme et prolongeait ainsi
notre plaisir.C'était ma première jouissance par un
homme après sept années de tentatives
frustrées..J'étais assouvie, mais malgré tout,
lorsqu'il s'en fut à la salle de bains, je me fit jouir à nouveau, mes
cuisses emprisonnant fermement l'agitation frénétique de mes
doigts.C'était très, très bon, mais aussi, j'étais
devenue beaucoup moins silencieuse qu'avant......Le
reste du voyage se déroula comme dans un beau rêve. Amboise,
Chennonceau, Blois, servirent de cadre à un couple insouciant,
extrêmement heureux, à une femme comblée.Le retour
fut triste.L'autocar, pris dans un embouteillage,
nous déposa avec quelques heures de retard à notre point
d'arrivée.Mes parents, inquiets, me firent une
remontrance exemplaire.Étrangement cela ne
m'importait plus. J'avais décidé de quitter le bercail à la première
occasion.Grâce à une collègue de travail j'avais
trouvé une petite chambre chez des particuliers, non loin d'où habitait
Roger et sa mère.
C'est alors, qu'il m'expliqua qu'un amour d'adolescent, une jeune américaine qui se masturbait depuis sa plus tendre enfance, lui avait enseigné une manière de la satisfaire complètement, elle qui ne pouvait aboutir, que par ses propres caresses. Fort de cette expérience, il me fera jouir....
Ne lui ayant pas avoué mon addiction au plaisir solitaire, aveu que je fis trois semaines plus tard, son intuition, seule, lui avait permis de découvrir mon petit secret.
Après cet excellent dîner bien arrosé, notre grand lit nous accueillit à nouveau.
Roger se révéla particulièrement sensuel.
Il embrassa mes seins, mordilla mes tétons durcis par le désir, puis descendit lentement vers mon minou, tout trempé.
Je sentis ses doigts délicatement écarter les lèvres de mon vagin, offrant mon clitoris gorgé à sa bouche. Il passa sa langue, doucement, sur toute la hampe, depuis la base jusqu'au capuchon qu'il roula entre ses lèvres, découvrant avec précaution et respect son extrémité ultra sensible. Je frémissais à chaque fois que le bout de sa langue frôlait cette partie de mon bourgeon.
C'était mon premier cunni, ma première minette.
J'implorais pour qu'il continua, mais il avait d'autres projets......
Bientôt, ses caresses se firent plus légères, à peine perceptibles, moins précises, et lentement, il retira sa langue et ses lèvres de mon minou pour m'embrasser à pleine bouche et me faire savourer mon arôme.
J'étais surprise par ce goût agréable, légèrement salé qui m'excitait de plus en plus...!!
Sans se presser, il s'agenouilla entre mes cuisses relevés, écartées pour le recevoir. Il me pénétra, en douceur, et me remplit entièrement.
Au bout de quelques instants, il me fit étendre les jambes, les encadra des siennes, son sexe toujours au plus profond de moi-même. Avec ses genoux il m'obligea à resserrer les cuisses pour mieux le sentir. Enfin, il allongea ses jambes et, appuyant ses pieds contre les miens, il fit en sorte que son membre comprimait et frictionnait mon clitoris à chaque nouvelle pénétration.
Très rapidement, une jouissance, comme je n'en avais jamais connue, envahit tous mon corps, telle une marée montante. Je tremblais sans pouvoir me contrôler.
Le souffle entrecoupé, un râle de plaisir s'échappa de ma gorge.
Roger se retira et se répandit en appuyant son sexe contre mon ventre, les spasmes de son éjaculation ondulants à l'unisson avec les dernières vagues de mon orgasme et prolongeait ainsi notre plaisir.
C'était ma première jouissance par un homme après sept années de tentatives frustrées..
J'étais assouvie, mais malgré tout, lorsqu'il s'en fut à la salle de bains, je me fit jouir à nouveau, mes cuisses emprisonnant fermement l'agitation frénétique de mes doigts.
C'était très, très bon, mais aussi, j'étais devenue beaucoup moins silencieuse qu'avant......
Le reste du voyage se déroula comme dans un beau rêve. Amboise, Chennonceau, Blois, servirent de cadre à un couple insouciant, extrêmement heureux, à une femme comblée.
Le retour fut triste.
L'autocar, pris dans un embouteillage, nous déposa avec quelques heures de retard à notre point d'arrivée.
Mes parents, inquiets, me firent une remontrance exemplaire.
Étrangement cela ne m'importait plus. J'avais décidé de quitter le bercail à la première occasion.
Grâce à une collègue de travail j'avais trouvé une petite chambre chez des particuliers, non loin d'où habitait Roger et sa mère.

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:CUSTOM_ID: les-récits-de-jeanine---chapitre-3
:END:
L'occasion se présenta deux semaines plus tard.
Roger devant se déplacer en Écosse pour son travail, me demanda de l'accompagner. Afin de réduire les frais, il échangea la réservation qu'il avait dans un bon hôtel pour une chambre double dans un modeste "bed and breakfast" ainsi que deux passages sur un autre vol plus économique.
C'était mon premier voyage en avion, et en plus de nuit. Je n'en menais pas large et me pelotonnais contre lui. .
Cependant, la perspective de trois jours ensemble me redonnait du courage.
Glasgow est une ville industrielle, peu touristique. L'hôtel était simple mais propre. Notre chambre spacieuse avec son grand lit, nous sembla un paradis, surtout après plus de deux semaines de "chasteté", ou tous les soirs, nous devions rentrer dormir chez nos parents respectifs.
Comme il était déjà assez tard, et que le snack dans l'avion n'était pas trop mauvais, nous fîmes juste un brin de toilette et hop!, les deux sous l'édredon...
Il me surprit avec des nouvelles caresses révélant d'autres zones érogènes de mon anatomie. J'étais bientôt trempée.
Il commença par pétrir très délicatement avec le bout de ses doigts mouillés, les lèvres de mon minou, gorgées par le désir, prenant bien soin de ne pas toucher mon bouton, qui palpitait pour réclamer son du.
Il s'attarda longuement à me chatouiller l'entrée du vagin.
Enfin, par un mouvement de va-et-vient rapide, il me pénétra, tout juste, avec la première phalange de son index, bien enduite de ma cyprine.
Cette titillation déclencha un flot de mouille ruisselant sur ses doigts. Le désir de jouir me rendait folle.
Je le suppliais de caresser mon clitoris, de me prendre, de me terminer.
--------------
Rien, il continua à me faire languir avec ses agaceries.
L'occasion se présenta deux semaines plus tard.Roger
devant se déplacer en Écosse pour son travail, me demanda de
l'accompagner. Afin de réduire les frais, il échangea la réservation
qu'il avait dans un bon hôtel pour une chambre double dans un modeste
"bed and breakfast" ainsi que deux passages sur un autre vol plus
économique.C'était mon premier voyage en avion, et en
plus de nuit. Je n'en menais pas large et me pelotonnais contre lui.
Titubante sur le fil d'un orgasme élusif, ne pouvant presque plus résister, je m'apprêtais à l'écarter pour me pendre et me faire jouir.
.Cependant, la perspective de trois jours ensemble me
redonnait du courage.Glasgow est une ville
industrielle, peu touristique. L'hôtel était simple mais propre. Notre
chambre spacieuse avec son grand lit, nous sembla un paradis, surtout
après plus de deux semaines de "chasteté", ou tous les soirs, nous
devions rentrer dormir chez nos parents
respectifs.Comme il était déjà assez tard, et que le
snack dans l'avion n'était pas trop mauvais, nous fîmes juste un brin de
toilette et hop!, les deux sous l'édredon...Il me
surprit avec des nouvelles caresses révélant d'autres zones érogènes de
mon anatomie. J'étais bientôt trempée.Il commença par
pétrir très délicatement avec le bout de ses doigts mouillés, les lèvres
de mon minou, gorgées par le désir, prenant bien soin de ne pas toucher
mon bouton, qui palpitait pour réclamer son du.Il
s'attarda longuement à me chatouiller l'entrée du
vagin.Enfin, par un mouvement de va-et-vient rapide,
il me pénétra, tout juste, avec la première phalange de son index, bien
enduite de ma cyprine.Cette titillation déclencha un
flot de mouille ruisselant sur ses doigts. Le désir de jouir me rendait
folle.Je le suppliais de caresser mon clitoris, de me
prendre, de me terminer.Rien, il continua à me faire
languir avec ses agaceries.Titubante sur le fil d'un
orgasme élusif, ne pouvant presque plus résister, je m'apprêtais à
l'écarter pour me pendre et me faire jouir.Soudain,
il retira son doigt et me retourna sur mon côté gauche, en chien de
fusil.Il s'allongea derrière moi, une jambe sous mes
cuisses. et je sentis son membre rigidement souple me pénétrer en
douceur.Déjà je haletais de plaisir quand il posa son
autre jambe entre mes cuisses, ce qui m'obligeait à les refermer et à
allonger mes jambes.Nos bassins s'étaient soudés
intimement; il remplissait profondément mon vagin.Je
me sentais envahie, prise en ciseaux, nos jambes entremêlées comme
celles des tribades d'antan..C'est alors que sa main
droite, passant au dessus de ma hanche, se posa très légèrement, ses
doigts écartés, autour de mon clitoris offert, sans même
l'effleurer.Cette sensation de ses doigts entourant
mon vagin, profondément pénétré, déclencha des vagues de désir qui
déferlaient le long de mon échine.Il attendit que je
sois au bord de la jouissance, toute tremblante, implorant pour qu'il me
fasse aboutir.Dans un long soupir, d'une voix
saccadée, j'entendis mes lèvres murmurer: "Chéri termine moi, je t'en
supplie".Seulement alors, roulant délicatement mon
clitoris entre le pouce et l'index il me fit basculer dans un orgasme
explosif, blottie tout contre lui, atteignant ce paroxysme tant espéré
et trop longtemps retardé.Se retenant à force de
volonté, il resta un long moment dans moi pour prolonger et intensifier
l'orgasme qui me secouait.Sitôt après il se retira,
empoigna son membre, le dirigea vers mon vagin, encore en proie de
violentes contractions, et éjacula impétueusement
dessus.L'effet de cette abondante giclée onctueuse et
chaude raviva, brièvement, l'intensité de ma jouissance qui s'éteignait,
alors, doucement, comme à regret.À partir de cet
instant, je me rendis compte que Roger était devenu maître de mes
orgasmes, Il avait découvert ce qui me procurait le plus de plaisir et
la manière de prolonger, contrôler et intensifier ce plaisir. Le tout
avec beaucoup d'amour, beaucoup de sensualité et surtout avec beaucoup
de tendresse.Ce soir-là je ne me suis pas caressée.
Soudain, il retira son doigt et me retourna sur mon côté gauche, en chien de fusil.
Il s'allongea derrière moi, une jambe sous mes cuisses. et je sentis son membre rigidement souple me pénétrer en douceur.
Je voulais savourer l'extraordinaire bien-être douillet qui
m'envahissait. Je me sentais apaisée,
satisfaite.N'empêche qu'à l'aube je me fis jouir
discrètement à deux reprises, sans relâche.Roger
dormait paisiblement à mes cotés.Me masturber a
toujours fait partie de mon existence, de mon plaisir personnel. C'est
une nécessité intime de mon être. Un plaisir exclusivement dirigé par
moi, pour moi. Hier aujourd'hui et demain.Les jours
suivants, je visitais les bords du Clyde, aménisés par un beau
printemps.Chaque soir, nos retrouvailles étaient
empreints d'une fougueuse tendresse.Notre complicité
se consolida au long de ce petit voyage. Nous n'avions plus de secrets
l'un pour l'autre. Cette complicité a survécu le test des années...
Déjà je haletais de plaisir quand il posa son autre jambe entre mes cuisses, ce qui m'obligeait à les refermer et à allonger mes jambes.
jusqu'à ce jour.En revenant d'Écosse j'emménageais
directement dans ma chambre louée. Roger partagea aussi cette nuit-là
mon petit lit.
Nos bassins s'étaient soudés intimement; il remplissait profondément mon vagin.
Je me sentais envahie, prise en ciseaux, nos jambes entremêlées comme celles des tribades d'antan..
C'est alors que sa main droite, passant au dessus de ma hanche, se posa très légèrement, ses doigts écartés, autour de mon clitoris offert, sans même l'effleurer.
Cette sensation de ses doigts entourant mon vagin, profondément pénétré, déclencha des vagues de désir qui déferlaient le long de mon échine.
Il attendit que je sois au bord de la jouissance, toute tremblante, implorant pour qu'il me fasse aboutir.
Dans un long soupir, d'une voix saccadée, j'entendis mes lèvres murmurer: "Chéri termine moi, je t'en supplie".
Seulement alors, roulant délicatement mon clitoris entre le pouce et l'index il me fit basculer dans un orgasme explosif, blottie tout contre lui, atteignant ce paroxysme tant espéré et trop longtemps retardé.
Se retenant à force de volonté, il resta un long moment dans moi pour prolonger et intensifier l'orgasme qui me secouait.
Sitôt après il se retira, empoigna son membre, le dirigea vers mon vagin, encore en proie de violentes contractions, et éjacula impétueusement dessus.
L'effet de cette abondante giclée onctueuse et chaude raviva, brièvement, l'intensité de ma jouissance qui s'éteignait, alors, doucement, comme à regret.
À partir de cet instant, je me rendis compte que Roger était devenu maître de mes orgasmes, Il avait découvert ce qui me procurait le plus de plaisir et la manière de prolonger, contrôler et intensifier ce plaisir. Le tout avec beaucoup d'amour, beaucoup de sensualité et surtout avec beaucoup de tendresse.
Ce soir-là je ne me suis pas caressée. Je voulais savourer l'extraordinaire bien-être douillet qui m'envahissait. Je me sentais apaisée, satisfaite.
N'empêche qu'à l'aube je me fis jouir discrètement à deux reprises, sans relâche.
Roger dormait paisiblement à mes cotés.
Me masturber a toujours fait partie de mon existence, de mon plaisir personnel. C'est une nécessité intime de mon être. Un plaisir exclusivement dirigé par moi, pour moi. Hier aujourd'hui et demain.
Les jours suivants, je visitais les bords du Clyde, aménisés par un beau printemps.
Chaque soir, nos retrouvailles étaient empreints d'une fougueuse tendresse.
Notre complicité se consolida au long de ce petit voyage. Nous n'avions plus de secrets l'un pour l'autre. Cette complicité a survécu le test des années... jusqu'à ce jour.
En revenant d'Écosse j'emménageais directement dans ma chambre louée. Roger partagea aussi cette nuit-là mon petit lit.

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#+title: les-récits-de-jeanine-chapitre-4
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#+post_title: Les récits de Jeanine - chapitre 4
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#+post_index_page_roam_id:
#+BLOG: cipherbliss_blog qzine_blog
* Les récits de Jeanine - chapitre 4
Rendu furieux par mon départ intempestif, et faisant suite à une conversation téléphonique orageuse, mon père décréta un ostracisme rigoureux pour Roger et moi.
Toutefois je maintenais le contact à travers d'autres membres de ma famille, ce qui me permit de récupérer mes affaires et d'avoir des nouvelles sur la santé de papa.
Par contre, la maman de Roger m'accueillit de suite comme sa propre fille, me faisant sentir cette affection chaleureuse de laquelle mes parents m'avaient, momentanément sevrée.
Je crois avoir gagné au change. Finalement j'étais devenue, indépendante, adulte.
Roger, lui aussi, me donna tout l'appui dont j'avais besoin, et malgré son jeune âge, (il avait cinq ans de moins que moi), prit les rennes de notre avenir immédiat.
Nos lieux de travail respectifs étant très proches l'un de l'autre, il passait me chercher le matin, ensuite nous déjeunions ensemble, et souvent, nous dînions chez sa maman Nous retournions alors dans ma chambre. Mon petit lit étant peu confortable pour le repos à deux, nous passions un long moment ensemble....avant qu'il aille se recoucher chez lui.
Petit à petit, mes jouissances avec lui se firent plus fluides, encore plus intenses, plus complètes.
J'avais évolué, vu que maintenant, après des préliminaires qui, sans me pénétrer, me portaient à l'orée de l'orgasme, il me faisait jouir très fort, en me prenant profondément et ceci, même dans la position "du missionnaire", position qui auparavant m'avait toujours laissée insatisfaite.
Roger, tendrement, patiemment, avait en trois semaines, réussi là où mes autres partenaires avaient échoué pendant près de sept ans. Plus tard, d'autres hommes et d'autres femmes ont pu savourer l'éveil de ma sexualité.
Au cours de nos confidences échangées sur l'oreiller, je lui avouait mon goût pour le plaisir solitaire auquel je me livrais très, très souvent.
Cependant, je refusais de me masturber devant lui, comme il me le demandait, malgré que, quand, solitaire, je me caressait, mon orgasme n'explosait qu'en pensant à lui.
En voulant préserver mon univers, je ne me rendais pas compte que mon attitude me priverait, dans l'avenir, d'une multitude de plaisirs érotiques.
Heureusement pour moi, cette fausse pudeur, s'avéra de courte durée.
Roger, ce garnement, utilisa une ingénieuse astuce pour m'amener à "me le faire" devant lui.
Au cours de nos interminables préliminaires, m'ayant portée sur le bord d'un orgasme inévitable, il lui aurait été très facile de me lâcher brusquement, afin de m'obliger ainsi à me terminer et à me faire jouir toute seule.
Mais pour lui, cela, allait contre son sens de "fair play" anglo-saxon.
Il fallait que je le fasse de mon plein gré...
Plutôt, un après-midi, m'ayant bien excitée, il me pria de lui enseigner comment il pouvait mieux me caresser.
Il me demanda de prendre ses doigts entre les miens, afin de les guider et de lui montrer quels attouchements me produisaient le maximum de plaisir.
Soir après soir, tel un élève diligent, il m'excita en me caressant de cette manière, nos doigts entremêlées, souvent me faisant jouir d'abord, pour ensuite me prendre en me pénétrant profondément et pour enfin nous faire aboutir ensemble.
Un soir, feignant ne pas trouver le fil de mon plaisir, il retira très discrètement ses doigts, un par un, sans que je ne m'en rende compte.
J'étais à l'apogée de mon désir et me trouvais très près du paroxysme.
Impulsivement, je libérais mon orgasme par une masturbation fébrile, mes cuisses, tendues, serrées autour de mes doigts.
Je m'étais faite jouir devant lui, sans vergogne, de mon propre gré, me caressant à ma façon habituelle, libre de toute contrainte.
Et tout ceci, sans m'apercevoir que ses doigts n'étaient plus entre les miens, mais délicatement posés.... sur ma toison.
Ma jouissance augmenta considérablement quand je m'aperçus qu'il me regardait avidement, empoignant dans son autre main son membre rigide, tout mouillé.
Alors, n'y tenant plus, il me prit fougueusement, jusqu'au plus profond de moi-même.
Très rapidement, nos deux orgasmes impétueux, explosèrent a l'unisson.
Ma facette d'exhibitionniste se révéla à moi ce soir là. Je trouvais extrêmement excitant qu'il me regarde me caresser et jouir.
Quelques année plus tard, ma douce amie Jocelyne, me surprit un soir dans mon lit, avec mes doigts qui s'agitaient furieusement dans mon minou, tout au bord de l'orgasme..... .
Aussi, grâce à Jocelyne je découvris les plaisirs que me réservait ma bi-sexualité. Je reviendrai, plus en avant, sur cette étape de ma vie..... .

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#+title: les-récits-de-jeanine-chapitre-5
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#+BLOG: cipherbliss_blog qzine_blog
* Les récits de Jeanine - chapitre 5
Notre chambre était assez incommode.
Nous décidâmes de chercher un petit appartement.
J'avais été promue dans mon travail et les affaires de Roger marchaient très fort, donc nous pouvions nous permettre d'améliorer nos pénates.
Par un extraordinaire coup de chance, à moins de 50 mètres de ma petite chambre, sur le même trottoir de ce quartier chic, apparut l'appartement de nos rêves.
Entrée, salon, grande chambre à coucher, salle de bains (avec une baignoire monumentale), et une cuisine complète.
Tout ceci situé au troisième étage d'un bel immeuble, fin de siècle.
Nos familles nous aidèrent avec le surplus de leur meubles et, un mois plus tard, nous emménagions dans notre nid.
Notre première nuit "chez nous" restera gravée dans notre mémoire, jusqu'à ce jour.
L'érotisme, à mon avis, est composé de sensations physiques et de sensualités cérébrales, plus ou moins à parts égales.
Un exemple:
Il m'est arrivé de "prendre mon pied", sans me toucher, sans que mon minou n'aie aucun contact, ni extérieur, ni intérieur, avec quoique se soit, étant assise en tailleur, donc avec mes cuisses bien écartées et mes mains sagement posées sur elles.... Quel orgasme, cet après-midi là !!!
Seule, la scène qui se déroulait devant mes yeux, était suffisante pour déclencher ma jouissance.
Je reviendrai plus tard et en détail sur cet épisode.
Revenant à cette nuit là, le facteur cérébral était omniprésent par la sérénité de l'ambiance et le bien être d'un vrai "chez nous".
Roger commença par m'embrasser un peu partout et termina, tout naturellement, entre mes cuisses.
Comme j'avais mouillé à flot, il scella ses lèvres autour de l'entrée de ma vulve, ensuite il aspira en douceur, à plusieurs reprises, ma cyprine.
Le vide, causé par ces aspirations répétés, fit trembler incontrôlablement les parois de mon vagin. C'était si bon que j'en avait presque mal.
Je me sentais défaillir.
Les muscles à l'intérieur de mon pauvre minou, palpitaient furieusement, secoués par les spasmes qui annonçaient l'explosion imminente d'un énorme orgasme.
Alors ses lèvres se déplacèrent vers mon bourgeon gorgé et, décapuchonnant délicatement son extrémité sensible, le suça très, très tendrement.
Enfin, par quelques légers frôlements de sa langue, presque imperceptibles, il déclencha ce gigantesque orgasme qui couvait dans mon bas-ventre et qui, par vagues successives, envahit tout mon être.
C'était ma première grande jouissance cunni !!!
Mais, pour étrenner notre première nuit, nous ne pouvions pas en rester là....
Roger avait besoin, lui aussi d'atteindre l'apothéose d'un orgasme bien mérité.
Il s'étendit sur le dos, caressant paresseusement son membre rigide, le gland tout enflé par l'excitation qu'il avait ressenti, lorsque ma mouille avait jailli sur sa langue, inondant sa bouche.
Moi aussi, voulant profiter de cette aubaine, plaquais goulûment mes lèvres contre les siennes, pour savourer, une fois de plus, mon arôme.
J'étais à nouveau follement excitée.
Roger me demanda alors de chevaucher sa verge, qui me pénétra très profondément.
Mon clitoris, replet, se blottit tout contre la base du membre sur lequel je m'étais enchâssée et réagissait à chaque frottement de nos bassins.
Tous deux étions très, très prêts, impatients d'atteindre notre jouissance.
Nos orgasmes simultanés explosèrent immédiatement. Nos corps, soudés, brutalement secoués par l'harmonie de nos spasmes, incontrôlables, saccadés. C'était tellement bon !!!
Sa puissante éjaculation inonda le fond de mon vagin.
Ce n'est qu'alors que je sentis les muscles à l'intérieur de mon minou, se relaxer sous l'effet de cette giboulée chaude et onctueuse.
Vivement, dans la salle de bains, je me fis une bonne toilette intime, car la "pilule" ne fit son apparition sur le marché que trois ans plus tard.......
Oops!! je viens de révéler mon âge....

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* Les récits de Jeanine - chapitre 6
Depuis plus d'un an, Roger avait fait irruption dans ma vie.
Dans notre petit appartement d'Auteuil, nous vivions tranquillement heureux, bien récompensés financièrement par notre travail.
Nous nous permettions, à présent, des petites extravagances, telles que de longs week ends dans les auberges gastronomiques de l'île de France ou de courts séjours sur les bords du Léman.
Roger avait aussi réussi à importer une splendide voiture anglaise décapotable et strictement de deux places.
Depuis bien longtemps, depuis le soir ou je m'étais caressée devant lui pour la première fois, Roger m'avait avoué que lui aussi se masturbait, et qu'il le faisait régulièrement depuis l'âge de neuf ou dix ans.
Il m'expliqua qu'à cette époque, sa famille vivait, très commodément, dans une colonie Britannique, loin de la guerre qui faisait rage en Europe et en Extrême-Orient.
Le mercredi après midi, étant le jour de congé de sa gouvernante anglaise, c'était la femme de chambre, Gina, qui était chargée de lui donner son bain.
Elle était de Trieste, grande, rousse, avec un visage slave aux pommettes saillantes.
Après lui avoir savonné le corps, debout dans la baignoire, elle s'attarda a caresser son petit sexe qui immédiatement se mit a bander. Elle insista longuement, glissant sa main savonneuse sur sa petite verge circoncise, dressée comme un piquet. Les doigts de son autre main chatouillaient le petit sac qu'il avait dessous .
Elle fit tant et si bien, qu'il ressentit brusquement une forte sensation de plaisir inouï. Il venait d'avoir son premier orgasme, tout comme moi, sans se douter que c'était sexuel.
C'était si fort qu'il lui retira sa main car le plaisir était trop intense, insupportable.
Gina, alors, s'assit sur le tabouret près de la baignoire. Comme elle ne portait qu'un tablier boutonné sur le devant, elle dégrafa seulement les deux boutons qui étaient les plus près de son bas-ventre.
Elle introduisit sa main par cette ouverture écartant légèrement ses cuisses.
Il la vit gigoter violemment pour enfin se raidir, gémir, et finalement soupirer bruyamment.
Roger dans son innocence enfantine, n'ayant seulement pu voir que la main de Gina plongée dans la petite brèche du tablier, était convaincu qu'elle, comme lui, avait une petite "quéquette" et qu'elle se la frottait pour se donner le même plaisir qu'il avait ressenti. Il était loin de se douter de l'énorme différence entre un homme et une femme.
Trois ans plus tard, Naïma, une autre femme de chambre, une très jeune arabe à la peau claire, mince et jolie, compléta son éducation, en lui offrant son minou épilé et son pucelage.
Gina se reboutonna, et lui recommanda bien de ne rien dire à personne.
Les mercredis devinrent des jours magiques pour Roger.
Gina lui enseigna, aussi, comment le faire tout seul, et pendant qu'il se caressait elle le regardait et se satisfaisait sur son tabouret.
Malheureusement, deux mois plus tard, elle fut prise la main dans le sac en train de voler un petit bijou de la commode de sa maman, et fut congédiée illico.
Depuis ce temps là a chaque fois qu'il prenait le bain, quand sa gouvernante le laissait seul après l'avoir lavé, il se donnait du plaisir. Sa main savonnée glissait facilement sur cette verge qui grandissait avec son âge, petit à petit, et qui lui produisait des orgasmes très intenses quoique, pendant deux ou trois ans encore, sans l'apaisement d'une bonne éjaculation.
Tout au long de sa vie, pour Roger, prendre un bain était synonyme de se masturber et de jouir.
La baignoire de notre petit appartement, elle aussi, devint un témoin, presque au quotidien de notre passion pour l'auto-érotisme mutuel.
Roger aimait particulièrement, certains jours, peu avant de partir pour le travail, m'appeler auprès de lui, pendant qu'il se caressait dans l'eau chaude de son bain, voulant partager avec moi son orgasme.
Souvent, j'étais déjà habillée, alors, il me priait d'enlever ma jupe et ma petite culotte, et je me retrouvais, alors, toute nue à partir de la ceinture, sauf pour mon porte jarretelle et mes bas.
C'était particulièrement excitant pour lui de me regarder me caresser debout appuyée contre l'armoire à linge, les jambes très légèrement écartées, mon minou offert, encadré par les dentelles de mon porte jarretelles.
Nos jouissances se développaient simultanément, l'un entraînant l'autre, à une vitesse vertigineuse.
Souvent, il se lâchait pour m'attendre. Sa main savonneuse, s'arrêtait de glisser le long de son membre, laissant parfois une couronne de mousse blanche juste en dessous de son gland pourpre, enflé.
Il se reprenait au moment ou je basculais parce qu'il savait que ma jouissance se décuplait à le voir éjaculer des jets de sperme épais, qui, en retombant, flottaient sur l'eau de la baignoire.
Après avoir joui, souvent, il me demandait de ne pas remettre mon slip pour aller au travail..... Il aimait me savoir vulnérable....
Enfin, c'était une course effrénée pour arriver à l'heure au boulot.
Vers la fin du printemps, un soir en terminant notre dîner en tête à tête il me demanda de l'épouser.
Il eut ma réponse enthousiaste sous forme d'un énorme et profond baiser, et ensuite, une nuit d'amour mémorable. J'étais comblée..
À part la maman de Roger, personne ne fut mis au courant de nos projets.
Quelques jours plus tard, prétextant que j'avais une grosse grippe, ma mère entraîna papa à venir nous rendre une première visite.
J'eus droit a une belle boite de bonbons.
Après le thé, maman et moi étant dans la cuisine, mon père profita pour entreprendre Roger et lui demander "quelles étaient ses intentions"
Roger, avec son flegme anglo-saxon, lui répondit: "Strictement malhonnêtes, Monsieur, strictement malhonnêtes"
Puis, comme si il venait de se rappeler d'un oubli sans importance, il enchaîna et... lui demanda ma main
De la cuisine, nous entendîmes, soulagées, tous les deux éclater de rire.
Les relations commençaient à se rétablir.
Notre mariage se célébra en Septembre à la mairie du 16ème. Dans la plus stricte intimité.
Nous fîmes un voyage de noces extraordinaire.
La Bourgogne, le Lyonnais, la Suisse romande, Milan et les lacs, retour par la Cote d'azur, jusqu'au Touquet pour embarquer la voiture sur l'avion, la débarquer à Lydd, dans le sud de l'Angleterre, passer quelques jours à Londres et retour au bercail.
Vingt deux jours de folie, la voiture décapotée pour la plupart du temps.

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* Les récits de Jeanine - chapitre 7
Après notre fantastique voyage de noces, nous retrouvâmes notre petit appartement d'Auteuil et le rythme de la vie quotidienne.
Roger, au retour de notre première escapade en Écosse, m'avait conté, toujours sur l'oreiller, toutes ses frasques de jeunesse, depuis Naïma la jeune Égyptienne qu'il séduit quand il avait douze ou treize ans, jusqu'à la jolie Cannoise, Michou, qu'il abandonna pour être avec moi.
La liste était impressionnante. Elle se composait de plus de 30 conquêtes dans l'espace d'environs sept ans. Il y avait un éventail d'une douzaine de nationalités différentes. Sept ou huit pucelles avouées, ne l'étaient plus après l'avoir connu.
Tout ceci m'inquiétait pour l'avenir de notre couple, car je savais, dans mon fors intérieur, que, certainement, tôt ou tard il recommencerait à butiner sur d'autres fleurs, quand l'occasion se présenterait.
Mais je l'aimais éperdument.
Juste avant notre mariage, afin de mitiger mon inquiétude, nous avions établi certaines grandes lignes qui seraient le socle de notre entente pour affronter l'avenir et qui seraient basées sur les quatre principes suivants.
Premièrement, que notre amour complice était l'essence primordiale, et que nous devions le préserver par tous nos moyens. Pour ce faire nous ne devions affronter et résoudre nos problèmes franchement sans qu'il n'y ait jamais aucun secret entre nous.
Deuxièmement, avoir un profond respect l'un pour l'autre.
Troisièmement, ayant établi que notre amour serait la chose la plus importante, notre concept de fidélité, pouvait admettre et tolérer, des amourettes passagères, uniquement si elles ne représentaient aucune menace pour notre couple.
Quatrièmement, dans le cas ou l'un de nous perçoive une telle menace, réelle ou imaginaire, il ou elle, exigera de l'autre, irrévocablement, de cesser cette relation.
Le résultat fut le suivant:
55 années d'amour et d'amitié entre Roger et moi......et cela continue aujourd'hui....
De fidélité absolue: Les 2 premières et les 25 dernières années.
Entre ces deux dates: 28 années de libertinage respectueux, de petits "coups de canif dans le contrat".... Beaucoup de bonheur, presque toujours partagé.
Menaces évitées: 4 exigées par moi....1 par Roger ( à posteriori).
Revenons à nos moutons.
Un ami de Roger, industriel dans nord-est nous avait offert toute sa collection de littérature érotique, vu que sa nouvelle femme n'appréciait pas ce genre de lecture. (Ils divorcèrent deux ans plus tard....)
C'était une collection très raffinée avec certaines éditions originales de Pierre Louÿs comme les Douze Douzains illustrée avec des dessins en couleurs, Les Trois Filles de leur Mère, et plusieurs autres livres comme l'Histoire d'O, de Pauline Reage ou les Onze Mille verges de Guillaume Appolinaire et certains écrits d'Anaïs Nin.
Il s'agissait d'une belle prose, écrite avec élégance, peu vulgaire (à l'exception d'Appolinaire) qui réveillait mon imagination à l'érotisme raffiné. Ce n'était pas la vile pornographie, trop répandue aujourd'hui.
Et cela était très érotique, vraiment excitant !!!
Ces lectures, furent, pour moi, responsables d'innombrables masturbations et orgasmes, seule ou avec Roger.
Elles me révélèrent aussi, combien mes jouissances étaient cérébrales et dépendaient de mon imagination, de mes fantasmes.
Quelques fois, au bureau, repensant à un extrait lu la veille, je m'excitais et commençais à mouiller abondamment, me trouvant obligée d'aller aux lavabos pour me terminer. Ceci se produisait, le plus souvent, les jours ou Roger m'avais prié de ne pas remettre ma petite culotte après nos jouissances partagées du matin, dans notre salle de bains.
Nos lavabos de direction, étaient confortables, et assuraient beaucoup de privacité.
Debout, un pied posé sur le couvercle du WC, le genou replié contre mon ventre, je me fouillais á satiété l'intérieur de mon minou, mon pouce frottant mon clitoris.
S'était surtout une coquinerie, que de prendre tant de plaisir sachant que mes collègues et mes subalternes, à quelques mètres de moi vaquaient, ignares, à leurs occupations.
Je jouissait, très fort, deux ou trois fois, toujours me terminant en pensant que c'était Roger, et non pas mes doigts, qui me prenait vigoureusement.
Moins de dix minutes plus tard, après m'être arrangée, remis un slip que je gardais en réserve dans mon sac, et surtout après avoir séché ma mouille de mes cuisses et du haut de mes bas, je regagnais mon bureau, toute relaxée, souriante.
Le soir, dans notre lit, j'excitais Roger en lui racontant mon incursion dans les lavabos ce qui ne manquait pas de le retrouver immédiatement enfoncé au plus profond de mon minou.
Aussi, depuis un certain temps déjà, Roger tentait de me convaincre de faire l'amour, a trois, avec une femme, mais bêtement je résistais.
Quand nous rencontrions une femme qu'il pensait pourrait me plaire, ou qu'il me présentait à une de ses vieilles flammes, il me pressait souvent, le soir même, juste avant de faire l'amour et me demandait de penser à elle pendant que je jouissais. Parfois, il retardait mon orgasme jusqu'au point ou, pour jouir, il me faisait le supplier et invoquer le nom de cette femme pour qu'il déclenche enfin mon paroxysme. Il éjaculait, lui aussi, en moi en s'imaginant que nous faisions l'amour à trois.
Ce n'est que dix ans plus tard que son rêve se réalisa.
Pour les fêtes de fin d'année, nous passâmes une petite semaine de rêve dans un jolie auberge de l'île de France, avec un merveilleux réveillon de la St. Sylvestre y compris une belle sérénade de cors de chasse.
La multinationale qui employait Roger lui proposa un merveilleux poste de directeur général pour leur nouvelle filiale d' Espagne, et après m'avoir consultée, il accepta ce contrat de deux/trois ans.... Il n'avait que 22 ans à l'époque....
Il partit en éclaireur tout au début de l'année pour s'installer aux alentours de Barcelone et trouver un logement ou je le rejoindrais au printemps, après avoir donné ma démission de mon travail.

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* Les récits de Jeanine - chapitre 12
Roger, en voyage d'affaires à Londres, me téléphona un soir et me demanda si il pouvait inviter, chez nous, à la villa une jeune Rhodésienne, Diana, qu'il avait connu deux jours plus tôt et qui travaillait à la réception de l'hôtel ou il était descendu.
Déjà je voyais une fille, belle, filiforme, couleur d'ébène. Il me détrompa rapidement -- elle était grande, blonde aux yeux bleus, sculpturale et..... bi-sexuelle.
C'était bien dommage pour Roger qui avait toujours eu la fantaisie de faire l'amour avec une jolie femme noire.
Comme il devait rentrer le surlendemain, et que les enfants étaient en vacances au bord de la mer, je lui suggérais de la ramener avec lui. La chambre des invités serait prête pour l'accueillir.
Le jour de leur arrivée, j'envoyais le chauffeur à l'aéroport les chercher et entre temps je passais la matinée à me dorer au soleil, dans le jardin, sur le bord de la piscine.
Il faisait chaud, mais il m'était impossible de retirer le haut de mon bikini, de peur que les voisins ne viennent me rendre visite par la grille au fond du jardin, qui elle, ne fermait pas bien.
La porte-fenêtre de notre chambre à coucher ainsi que celle de la chambre des invités contigüe, donnait directement sur la piscine. Roger, avec l'architecte, avait disposé la maison de sorte qu'elle borde en demi cercle cet espace. Ainsi toutes les pièces avaient un accès à la piscine.
Bientôt, l'effet aphrodisiaque du soleil me poussa à aller me réfugier dans la chambre des invités, entrant par la porte-fenêtre que j'avais laissée ouverte pour aérer la pièce.
Je retirais mon maillot de bain, pour me vautrer plus à mon aise sur le grand lit.
J'étais toute émoustillée rien qu'à l'idée de connaître Diana, que Roger par téléphone, m'avait minutieusement décrite.
Perverse excitation que celle de me donner du plaisir en pensant à elle, sur son lit, même avant qu'elle ne l'étrenne....
Fébrilement, je fouillais mon entre-jambes, deux doigts de ma main gauche me pénétraient, tandis qu'avec l'autre main je roulais mon clitoris entre le pouce et l'index. Mon minou ne tarda pas à vouloir m'offrir impérativement cette douce récompense qui m'était familière depuis ma tendre jeunesse.
Pour savourer plus longtemps ce plaisir, je me lâchais plusieurs fois, juste avant d'atteindre mon "point de non retour", portant à ma bouche, mes doigts empreints de ma cyprine, dont le goût m'excitait follement..
Au bout d'un long moment, n'y tenant plus, je me terminais fiévreusement, les cuisses très écartées, le bassin cambré, libérant finalement l'orgasme qui me secoua comme une poupée de son,
Je retournais dans notre chambre par la porte de communication, sans oublier de replier le couvre-lit pour cacher la tache faite par ma mouille.
Un paréo sur mon bikini, je m'installais, pour les attendre, sur la terrasse près de la table préparée pour le déjeuner.
Ils ne tardèrent pas à débarquer.
Après les présentations éffusives, j'installais Diana dans sa chambre, ou elle se changea.
Bientôt elle apparut sur la terrasse, en maillot de bains, et piqua une tête dans la piscine pour se rafraîchir avant le déjeuner.
Elle était absolument splendide. Elle ressemblait à Simone Signoret dans le film "les diaboliques".
Svelte, quoique bien en chair, elle avait de grands yeux bleus pervenche, légèrement bridés, des pommettes saillantes et des cheveux coupés assez courts, châtain très clair, parsemées de mèches blondes. Ses seins lourds mais pigeonnants et son mont de Vénus très proéminent se devinaient, sous la fine étoffe de son maillot de bains, surtout quand elle grimpait sur l'échelle de la piscine pour sortir de l'eau.
Elle se sécha rapidement, et nous rejoignit à table.
Pendant le déjeuner, je me sentais intriguée, émoustillée même, lorsque Roger raconta, avec désinvolture, ses ébats des derniers jours à Londres avec Diana.
Surtout qu'il avait du changer d'hôtel pour être avec elle, du fait qu'au personnel de la réception, il leur était strictement interdit de passer la nuit dans la chambre d'un invité.
Aussi, Diana l'emmena, un soir, visiter la mecque londonienne d'ambiance lesbienne: "Helen's Club" Elle lui présenta sa tendre amie, la timide Eileen, une jeune irlandaise aux yeux verts, avec un petit corps d'adolescente, très, très brune, et qui l'attendait, patiemment, assise dans un immense fauteuil de cuir.
Ils passèrent, au club, une partie de la soirée, avant de retourner, tous les trois, à l'hotel.
Eileen, qui était follement amoureuse de Diana, aurait fait n'importe quoi pour lui être agréable.
Une fois dans la chambre, incitée par Diana, elle se déshabilla, lentement, un peu gênée, découvrant un joli petit corps aux lignes harmonieuses, des seins juvéniles, à peine formées. Son minou délicat, se devinait sous une toison foncée, assez fournie, qui allait mourir entre ses cuisses, fines et fuselées.
La présence de Roger ne semblait pourtant pas trop l'intimider.
Diana l'embrassa, d'abord en passant délicatement sa langue sur ses lèvres, ensuite, plus fougueusement sur tout le corps, s'attardant un très long moment sur son petit minou offert, luisant de cyprine.
La jeune irlandaise se lovait sus l'effet de cette langue experte qui la fouillait, tout en gémissant doucement.
Enfin, malgré ses protestations, Diana l'abandonna sans la terminer et s'étendit, nue, sur le lit, l'obligeant tendrement à se mettre entre ses cuisses écartées.
Elle lui présenta son mont de Vénus, à deux doigts de son nez, si bien que les lèvres d'Eileen, immédiatement enveloppèrent son gros clitoris, le suçant et l'aspirant goulûment dans sa bouche.
Eileen avide de faire jouir son amour se mit à lécher, frénétiquement, le pourtour de ce sexe offert, ruisselant, n'oubliant pas de darder sa langue, souvent, à l'intérieur de son vagin ouvert.
Diana ne tarda pas à se tendre comme un arc, et avec un long gémissement rauque laissa libre cours à son orgasme.
Enfin, une fois rassérénée Diana embrassa voluptueusement son amie et la pria de laisser Roger, lui faire cunnilingus. Elle y consentit, sans enthousiasme, car elle aurait préféré jouir sous la langue de son aimée.
Diana avertit Roger qu'Eileen étant vierge, il ne devait absolument pas pénétrer sa chatte.
Le pauvre, utilisa toute son savoir-faire pour arracher un orgasme exemplaire à cette toute jeune fille, et malgré les restrictions imposées, réussit à la faire jouir très fort, pendant un long moment.
Il reçut sa récompense sous forme d'un profond soupir étranglé et un jet de mouille chaude sur sa langue.
Après sa jouissance, Eileen se redressa, encore toute tremblante et impulsivement embrassa cette bouche qui lui avait donné tant de plaisir, fouillant avec sa langue tous ses recoins.
Aussitôt après, elle avoua à Diana, comme pour se faire pardonner, que c'était la première fois qu'elle embrassait un homme de cette façon!....
Roger, lui, était resté sans jouir. Diana s'en occuperait plus tard.....
Ils raccompagèrent Eileen chez ses parents et retournèrent tous les deux à l'hôtel pour s'aimer.
Après l'intermède d'Eileen il profita pour pour mettre Diana au courant de mes préférences, et elle se montra impatiente de pouvoir les partager avec moi. Ceci motiva notre conversation téléphonique du lendemain.
Roger lui avait certainement mentionné, entre autre, que j'aimais une subtile domination cérébrale pour retarder mes orgasmes, ou bien, parfois, m'obliger à me faire re-jouir toute seule, aussitôt après m'être déjà fait jouir à plusieurs reprises.
Et, probablement, il lui précisa bien d'autres choses, comme mon goût prononcé à l'auto-érotisme, particulièrement quand on me regardait, soit donc, mes tendances à un exhibitionnisme discret.
Il insista que, jamais, au grand jamais, je n'acceptais de contraintes physiques et que je ne supportais aucune violence, même minime.
Une seule expérience, vécue il y a quelques années, m'avait laissé un très mauvais souvenir, malgré que cela se termina pour moi, par une avalanche d'orgasmes, très intenses, quoique, (ou peut être parce) qu'ils étaient le fruit d'une violence.

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* Les récits de Jeanine - chapitre 13
Après avoir déjeuné, une sieste s'imposait. Diana accepta avec empressement de nous rejoindre dans notre chambre.
Prétextant que son bikini était encore humide, elle l'enleva.
Dieu, qu'elle était appétissante toute nue!!
Ses beaux seins avaient de grandes aréoles foncées entouraient ses gros tétons couleur rouge vif, qui pointaient déjà, engorgées.
Une toison blonde, fine est soyeuse, voilait à peine les grosses lèvres charnues de son minou, desquelles émergeait, en maître des lieux, son gros bourgeon rose, sous son capuchon plus foncé.
Elle défit mon paréo, quitta les deux pièces de mon bikini et me regarda longuement. Je frissonnais de plaisir rien que de sentir ses yeux vrillés sur mon sexe à tel point que j'écartais un peu les cuisses pour offrir toute mon intimité à son regard. Sans un attouchement, sans même le moindre frôlement, elle m'avait excitée tellement, que je sentais déjà ma mouille imbiber ma chatte, entrouverte.
Roger, voyant mon état, lui demanda de me caresser légèrement, lui recommandant surtout d'éviter que je jouisse.
Elle fit mieux. Sa langue rejoignit ses doigts pour tourmenter mon minou. Un autre doigt s'aventura vers l'arrière et me titilla mon bouton de rose.
C'était si bon, qu'une violente vague de plaisir ondula au long de mon épine dorsale. Je tremblais comme une feuille.
Elle était experte en la matière, car jamais auparavant, je ne m'étais balancée, aussi longtemps et aussi près, du bord de l'orgasme, sans pouvoir, ni de le goûter, ni de l'atteindre.
Malgré mes protestations, elle me lâcha et se retira complètement d'entre mes cuisse écartés, mon clitoris palpitant furieux, l'entrée de mon vagin trempé, en proie à des convulsions incontrôlables.
Roger m'ordonna gentillement de m'asseoir en tailleur et d'appuyer mon dos sur le dossier du lit. Je m'exécutais.
Il s'étendit en travers du lit et Diana, à califourchon, s'emmancha sur son membre, qui disparut entièrement succionné par son vagin avide. Lentement avec des mouvements impérieux de va-et-viens, elle aspirait la verge de mon pauvre Roger qui gémissait de plaisir. Avec ses doigts, tels les élytres d'une libellule, elle frôlait délicatement son imposant clitoris, avec la même cadence frénétique que les ailes cette libellule en plein vol.
Ils se trouvaient, tous les deux, sur le point de jouir, regardant fixement ma chatte, offerte, vide, trempée.
De les savoir, eux, si près de l'orgasme, moi, n'y tenant plus, j'aventurais discrètement une main vers mon minou pour me soulager.
D'une voix douce, mais ferme, plantant son regard bleu dans mes yeux, Diana me dit: "Darling, please don't play with yourself now" (Je te prie, ma chérie, ne te caresse pas maintenant).
En rechignant, je posais sagement mes mains sur mes cuisses.
À les voir haleter, gémir, leur mouvements de plus en plus saccadés, je sentais bien qu'ils allaient jouir immédiatement.
Moi, j'étais arrivée à l'apogée du paroxysme en les regardant, et soudain, sans crier gare, je sentis mon vagin se contracter à plusieurs reprises et un immense orgasme explosa dans les profondeurs de mon ventre. C'est une sensation absolument inouïe que de jouir "à vide". Sensation qui me collapsa, me plia en deux, et secoua vigoureusement tout mon corps, une jouissance extrêmement puissante, quoique incomplète.
Ils me regardaient, offerte, incohérente, jouissant comme une forcenée, avec mes cuisses très écartées, mes mains sagement posées sur elles, mon minou ruisselant.
Ceci déclencha leurs orgasmes. Tous les trois, nous avions joui en même temps, à l'unisson.
Reprenant nos esprits, Diana me susurra "Darling, you were amazing".
Avec cette phrase passe-partout les anglo-saxons expriment souvent leur approbation. Un petit peu comme "Ma chérie, tu as été formidable".
Roger me dit plus tard qu'il était fasciné de voir qu'en jouissant, l'entrée de mon vagin se contractait violemment, plusieurs fois, puis se couvrait d'une épaisse mousse opaque, l'aspirait à nouveau, pour enfin l'expulser comme une éjaculation !!!
Nous étions moulus, repus. Diana retourna dans sa chambre, laissant la porte de communication entrouverte. Roger après m'avoir embrassée tendrement s'endormit paisiblement.

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* Les récits de Jeanine - chapitre 14
Depuis déjà un bon moment, je ressentais un désir impérieux de "goûter" Diana, de rouler son clitoris entre mes lèvres, de la sentir jouir, de sentir sa mouille gicler sur ma langue.... Et elle devait encore avoir l'arôme de Roger en elle.....
N'y tenant plus, je poussais la porte et me retrouvais à ses cotés.
Elle ne sembla pas surprise par ma visite, Roger l'ayant probablement alertée de mon penchant pour faire minette à une femme qui m'excite, quand je la désire.
Après un léger baiser effleurant ses lèvres, je l'embrassais tendrement dans le cou, puis descendis ma bouche sur ses seins doux et fermes, que je pétrissait lentement avec mes doigts.
Je suçais tendrement ses tétons chauds, en érection et les mordillais de mes lèvres, avec amour, arrachant du fond de sa gorge un long gémissement de plaisir.
Enfin, descendant vers le bas du lit, je m'installais entre ses cuisses ouvertes pour me recevoir, j'écartais les lèvres enflées de sa chatte en les massant délicatement et posais enfin ma bouche sur son minou, respirant son délicieux arôme légèrement musqué.
J'étais au septième ciel, roulant, entre mes lèvres, son beau clitoris, tout en aspirant à l'entrée de son vagin sa cyprine qui coulait à flots.
Elle gémissait de plus en plus fort.
Tout son corps ondulait, secoué par les vagues de plaisir que lui procuraient ma langue, mes lèvres. Elle voulait jouir et le proclamait avec des petits cris....Yes...Yes...Yessss... oh please....
Mon instinct pervers me fit ralentir les caresses de mes lèvres et de ma langue sur son minou, pour retarder sa jouissance, l'affoler, lui arracher une supplication de plus, la faire durer encore un peu, enfin, la faire languir.
Mais moi aussi je sentais à nouveau un besoin urgent d'aboutir.
Subrepticement ma main droite descendit vers mon entrecuisse, vers mon pauvre minou, avide, trempé et si solitaire.
Le grand miroir sur la porte de l'armoire l'avertit de mes desseins.
À nouveau, de sa voix douce, mais qui n'admettait aucune tergiversation, elle me dit: "Darling, don't touch yourself and don't cum yet, finish me first" (Chérie, ne te fais pas jouir, attends. Termines-moi d'abord). Obéissante, je retirais la main de ma chatte.
Comme j'étais moi aussi presque au bout de mon rouleau, je m'appliquais, par quelques grands coups de langue, à activer l'énorme orgasme qui couvait dans son bas ventre.
La jouissance qui explosa en elle, était si brutale, qu'elle provoqua en moi un mini orgasme, avec les muscles de mes jambes tendus et mes cuisses serrées.
.
Une fois ses spasmes calmées, elle me pria de me mettre debout devant elle et de m'adosser contre le grand miroir sur la porte de l'armoire.
Elle me demanda ensuite, de me caresser, les jambes suffisamment écartées, de sorte à bien pouvoir apprécier mon minou ruisselant pendant mon orgasme.
Diana, sa tête tournée vers ma chatte, se masturbait elle aussi, étendue sur le dos, les cuisses relevées, toute ouverte, prête a jouir avec moi.
Elle me rendait folle, me regardant me fouiller, fixant ses yeux alternativement sur mes doigts dans mon minou et sur les expressions changeantes de mon visage à l'approche de mon paroxysme imminent.
Souvent, elle épiait aussi, dans le miroir, la réflection de ses propres doigts fébriles, à l'oeuvre sur son clitoris.
Soudain, l'orgasme me fulmina.
Mes jambes flageolantes cédèrent sous moi, et je me retrouvais à genoux sur la moquette, courbée en deux, haletante, mes doigts terminant furieusement ma jouissance.
Elle me rejoint immédiatement avec un râle de plaisir.
Après, câlinement, Diana me releva et me prit dans ses bras. C'était doux, c'était sensuel, c'était paisible. Seule une autre femme pouvait m'offrir une tendresse pareille.
Le sommeil nous surprit enlacées ....
C'est ainsi que nous trouva Roger deux heures plus tard.
Il venait, tenaillé par la faim, pour nous inviter à faire la ronde des tavernes du centre de la ville, qui servaient d'excellentes "tapas".
Rapidement habillées, nous étions prêtes en moins d'un quart d'heure.
Le coeur de la capitale était très animé comme tous les samedi soirs. Diana, peu habituée à l'ambiance bruyante, écarquillait les yeux, ravie. Après avoir visité quatre ou cinq établissements, repus, nous reprîmes le chemin de la villa.
Malgré notre sieste, les aventures de la journée nous avaient fatigués, et après un petit câlin, tous au lit, chacun dans sa chambre.
Une fois couchés, Roger m'embrassa tendrement, voluptueusement. J'étais rompue, mais son baiser me redonna un folle envie de faire l'amour avec lui. Lui aussi voulait me prendre, son érection témoin de son désir.
J'empoignais son sexe tout mouillé et avec son gland souple et doux je me caressait le minou.
Il ne pouvait plus tenir longtemps. Il se dégagea et plongea son membre jusqu'au fond de mon vagin.
Cette sensation d'être complètement remplie, me manquait terriblement depuis plus d'une semaine. Nous en avions tellement besoin, l'un et l'autre, que notre jouissance explosa immédiatement, nous laissant K.O.
Roger restait pour moi, toujours, mon seul vrai amour, le maître absolu de mes sens, de mon âme.
Je ne sais pas si nous nous sommes endormis l'un dans l'autre. Mais le matin nous trouva encore dans les bras l'un de l'autre.....

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* Les récits de Jeanine - chapitre 15
Le dimanche matin, il faisait un temps clair, calme, et, assez tôt, Roger pris sa moto pour aller au champ d'ultra légers, pas loin de la villa, afin de faire un petit vol sur son monoplace Quicksilver. Il serait de retour dans environs deux heures,
Poussant la porte de communication, je rentrais dans la chambre de Diana pour la réveiller. Encore â moitié endormie, elle m'attira contre elle sous ses draps. Elle avait la peau chaude et douce et je me pelotonnait dans ses bras heureuse de la retrouver.
En un tournemain, nos chemises de nuit s'empilèrent sur la moquette.
Prenant tendrement ma tête entre ses mains, elle embrassa mes cheveux, mon front, frôla avec sa langue mes paupières, mes joues, mon cou, puis remontant par dessous le menton, elle humidifia légèrement mes lèvres qui s'entrouvrirent. Ne pouvant plus tenir, j'aspirais brusquement cette langue qui immédiatement fouilla l'intérieur de ma bouche. Enfin, prenant un peu de recul, je la dardais à mon tour avec ma langue, à la manière d'un doux duel, nos lèvres entrouvertes.
C'était extrêmement sensuel, et je sentais déjà ma chatte se mouiller..
Elle entrelaça ses cuisses avec les miennes, en ciseaux, collant nos minous trempée l'un contre l'autre tout en imprimant un mouvement giratoire à son pubis, que j'accompagnais.
Ma tête toujours entre ses mains, elle guida mes lèvres sur un de ses tétons, dur et enflé, que je suçais avidement, arrachant un long gémissement de plaisir du fond de sa gorge.
Je sentis son clitoris rigide, replet, se nicher tout d'abord entre les lèvres de ma chatte, sur mon bouton, puis enfin se pointer à l'entrée de ma vulve qui réagit avec une série de contractions incontrôlables.
J'avais l'impression qu'une mini verge voulait me pénétrer, et ressentis les feux follets parcourir tout mon bas ventre.
Cette titillation m'affola et mes mouvements devinrent plus brusques, plus saccadés, ce qui déclencha immédiatement la jouissance de Diana ponctuée par un cri rauque, et un profond soupir.
Malheureusement, pour moi, comme par le passé, le "butterfly" des tribades me laissait très excitée, mais seulement sur le bord de l'orgasme, insatisfaite.
C'est, je pense, une question de morphologie, mon mont de Venus n'étant pas assez conséquent, mon clitoris, mes lèvres, pas suffisamment développés .
Alors, désespérée, serrant fortement une des cuisses de Diana entre les miennes, j'y frottais vigoureusement mon minou, tout ruisselant.
Diana, sentant que j'étais sur le point de jouir, fit tressaillir ses muscles en les bandant à plusieurs reprises. Le résultat de ce massage ne se fit pas attendre. Un immense orgasme déferla le long de tout mon corps crispé, et enfin le détendit.
Dieu que c'était bon....! Il nous fallut quelques bonnes minutes pour nous remettre.
Juste le temps d'enfiler nos maillots et de plonger dans la piscine pour nous rafraîchir. Ensuite, un brin de toilette, puis nous habiller, et rejoindre sur la terrasse, Roger, revenu de son petit vol, pour prendre le traditionnel brunch du dimanche.
Vers quatre heures trente, le chauffeur vint nous chercher, tous les trois, avec armes et bagages, pour nous conduire à Bilbao ou Roger avait une réunion importante à son usine le lundi matin.
À sept heures et demi, un peu tôt peut être pour l'Espagne, nous fîmes un arrêt juste avant Burgos pour dîner dans un magnifique hôtel-restaurant. L'agneau et le boudin étaient, comme à l'habitude succulents.

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* Les récits de Jeanine - chapitre 16
L'hôtel de Bilbao, construit tout au début du vingtième siècle et qui ne montrait son âge que par sa splendeur cossue, nous avait réservé comme de coutume la suite de trois pièces composé d'une grande chambre double, un salon et une salle de bains fin de siècle, le tout isolé du reste des invités par une belle antichambre.
Diana emménagea dans le salon, Roger et moi, dans la chambre à coucher.
Nous avions tous trop dîné et le voyage nous avait fatigués, pour autant nous nous retirâmes chacun dans nos appartements pour dormir.
Demain, s'annonçait comme une journée chargée.
Nous devions retrouver Roger, à l'heure du déjeuner, dans un bon restaurant près de l'aéroport pour ensuite nous embarquer, tous les trois, sur l'avion de Londres. La pauvre Diana devait rejoindre son poste à la réception de l'hôtel avant 21 heures, étant de garde cette nuit-la.
Le lendemain matin, réveillés assez tôt, Roger me pria de venir le retrouver pendant qu'il prenait son bain. Quoique, au petit matin, je m'étais déjà caressée, j'acceptais ravie de participer, une fois de plus à notre petit rituel matinal.
Soudain, Diana frappa à la porte. J'étais surprise, mais pas mécontente, quand Roger lui demanda de rentrer.
Elle nous trouva, lui caressant son érection à pleines mains savonnées, et moi, assise sur le rebord de la baignoire, une main enfouie dans mon minou, très près d'aboutir.
Ayant déjà basculé, seulement son regard posé sur ma chatte, était suffisant pour déclencher mon orgasme, me faisant jouir, intensément, sans vergogne.
Elle s'assit à coté de moi, et se penchant vers Roger, pris la relève, en empoignant son membre.
Déjà il commerçait a haleter, quand elle le rinça, et, se penchant un peu plus, pris sa verge dans sa bouche, et, aspirant profondément l'engloutit toute entière au fond de sa gorge. Ses lèvres, par moments, "broutaient" son pubis.
Roger, qui n'était pas habitué à une fellation aussi profonde, poussa de gros soupirs, et très vite, son éjaculation secoua violemment tout son corps, alors que la bouche de Diana, enveloppait hermétiquement la base de son gland. Elle avala toute sa décharge, puis étendit sur son visage, les quelques gouttes qui restaient sur ses lèvres
Je pris Diana par la main, pour la mener sur notre grand lit, laissant Roger terminer sa toilette et se préparer pour sa réunion.
Je l'installais, sur des coussins, étendue sur le bord du lit, les cuisses écartées, les pieds plantés sur le parquet et m'agenouillais entre ses jambes, Elle était trempée.
Délicatement je passais ma langue à l'intérieur des lèvres de son minou, que je maintenais très ouvertes avec mes doigts.
Je dédaignais pour le moment son imposant bourgeon. J'allais m'occuper de lui plus tard.
Diana commença à gémir, se cambra, me présentant son bassin tendu, quémandant plus de caresses.
Ses mains, loin d'être inactives, pétrissaient amoureusement ses seins, roulant souvent, entre le pouce et l'index, ses tétons vermeils, en érection.
Retirant mes doigts des lèvres de son minou, je plongeais l'index et le médius de ma main droite, jusqu'au fond de ce vagin offert, la paume vers le haut, juste sous ma bouche, face à son clitoris, prenant toujours garde de ne pas le toucher.
Mes doigts, fouillaient sa paroi abdominale, en quête de cette minuscule parcelle rugueuse ou se trouve l'élusif "point G". Avec mon autre main, je massait son ventre juste au dessus de son mont de Venus.
Quand je sentis son corps se raidir, ma bouche se colla enfin sur son minou, et aspirant fortement, je roulais son clitoris entre mes lèvres, tout en redoublant l'activité de mes doigts, tant à l'intérieur de son vagin, comme sur son bas ventre.
Avec des cris étranglés, soulevant sa croupe du bord du lit, un jet de mouille inonda ma main.
C'était la naissance d'une très, très longue et très intense jouissance qui finalement, la laissa, rendue, inerte, vidée, haletante, et... satisfaite.
J'avais découvert son "point G".
Diana souriait aux anges, assez surprise par cette nouvelle expérience.
La matinée s'écoula avec un peu de "window shopping" (lèche vitrines) en se promenant dans les belles avenues autour de l'hôtel.
Le chauffeur vint nous chercher avec les bagages, vers 13 heures, et nous conduit, d'abords au restaurant déjeuner avec Roger, ensuite, tous les trois a l'aéroport pour nous embarquer sur la BEA à destination de Londres.

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* Les récits de Jeanine - chapitre 17
Notre vol, qui avait du retard, atterrit à Londres seulement passées les 18 heures.
Roger loua une voiture chez Avis, car nous devions, après avoir déposé Diana chez elle, nous rendre a Gosport, près de Southampton.
Diana, était chargée de réserver, deux chambres communicantes a l'hôtel Lancaster pour le surlendemain soir. Nous nous y retrouverions dans le hall vers 19 heures pour emménager et puis aller dîner dans un restaurant chinois très connu, le Chelsea Rendez-vous.
Roger tenta de la convaincre d'inviter Eileen à se joindre à nous pour dîner, puis au Lancaster, mais elle refusa, probablement jalouse de l'impact que Roger avait laissé sur sa petite amie.
Quel dommage, car moi, j'aurais tant aimé faire l'amour avec cette jeune vierge, la faire bien jouir, tout en respectant son hymen intact..... J'étais sure qu'elle l'offrirait un jour à Diana en gage de son amour pour elle.
Il était presque dix heures lorsque, installés à l'hôtel de Gosport, nous nous fîmes servir un petit dîner dans notre chambre: juste un peu de saumon fumé Écossais et une belle sole de Douvres meunière partagée.
Après dîner, un brin de toilette, et au lit.
Je me pelotonnait tout contre lui, non pas parce que j'avais froid, mais parce que j'avais besoin de sentir son corps, sa peau sur la mienne.
Je lui racontais ma matinée, avec Diana a l'hôtel de Bilbao. Cela l'excita beaucoup d'apprendre que j'avais réussi à la faire jouir en caressant son "point G " tant avec mes deux doigts à l'intérieur de son vagin, comme avec la paume de mon autre main appuyant légèrement sur son bas ventre. Il apprécia particulièrement le fait qu'elle ait eu une grosse éjaculation de cyprine dans ma main.
Il se retenait pour ne pas aboutir prématurément, et me donner le temps de le rejoindre,
Je lui contais aussi mon phantasme avec Eileen, et il renchérit en me disant que le phantasme qu'il imaginait avec elle était beaucoup plus cruel, puisque sa fantaisie s'achevait avec Eileen se dépucelant elle même, en prenant mille précautions, ses doigts trempés par sa mouille s'enfonçant très lentement dans son minou.
Elle gardait ses belles cuisses bien écartées, pour se montrer à lui, mais tournant le dos à Diana qui, elle, avait tout fait pour la préserver vierge.
Son autre main qui caressait son petit bouton, déclencha sa jouissance, au même instant où ses doigts, qui la fouillaient, disparaissaient complètement dans son vagin..
Sa fantaisie était tellement, tellement diabolique, que nos orgasmes, qui se déclenchèrent brutalement, étaient extrêmement sensuels. Il nous fallut une bonne dizaine de minutes pour nous remettre.
Le sommeil du juste nous surprit bientôt enlacés à nouveau.
Le lendemain nous devions nous rendre auprès d'un chantier naval de plaisance, de renommé mondiale, pour vérifier l'état d'avancement du yacht que Roger faisait remettre à neuf et qui, le jour suivant, devait faire son épreuve de navigation avec nous à bord... Deux grandes journées en perspective.
Sid, notre capitaine, vint, avec sa femme, nous chercher à l'hôtel vers dix heures pour nous mener au chantier.
Le yacht était déjà a l'eau dans un bassin de carène, les ouvriers, les peintres, les mécaniciens, tous s'affairaient pour terminer leur besogne.
Il paraissait énorme, massif, avec ses 27 mètres de long, ses deux ponts superposés, en teck de Birmanie, le tout couronné par les paraboliques des radars.
Toute ma journée fut a peine suffisante pour faire les inventaires, les listes d'approvisionnements etc, tandis que Roger s'occupait, avec les ingénieurs du chantier et avec le capitaine à résoudre les problèmes techniques de dernière heure.
Notre lit, ce soir-la nous trouva moulus, épuisés par notre journée.
Le grand jour de l'épreuve de navigation nous accueillit avec un temps radieux, seule une petite brise rafraîchissait l'atmosphère. Les tests s'avèrèrent assez satisfaisants, et Sid avait 15 jours pour s'assurer que tout soit en parfait ordre de marche, prêt pour le voyage vers son port d'attache aux îles Baléares.
Nous étions de retour à Londres vers 18.30. Nous nous installâmes a l'hotel Lancaster avec Diana, qui nous y attendait.
Le dîner au Chelsea Rendez-vous était excellent. Une cuisine Chinoise raffinée mais très légère.
De retour à l'hôtel, Diana se déshabilla dans sa chambre et ensuite vint nous rejoindre, par la porte de communication, portant seulement une nuisette ultra courte et transparente.
Ce voile la rendait encore plus désirable..
Elle nous conta qu'elle avait passé la soirée précédente et une partie de la nuit, avec Eileen lui donnant tous les détails de son escapade en Espagne. Malheureusement, après leurs ébats, elle avait du la raccompagner chez ses parents, et avait terminé la nuit seule avec son imagination.....
Laconiquement, Roger lui dit que le soir de notre arrivée, elles aussi avaient été dans nos pensées, sans trop élaborer si il fallait entendre "elle" ou "elles"....
Elle m'enleva mon baby-doll et sa nuisette rapidement le rejoint sur la chaise. Son corps, ses seins, son minou, me faisait, comme toujours mouiller, rien qu'a les regarder.
Je m'allongeais, la tète sur le traversin, et Diana entreprit de me caresser tout le corps, depuis mes cheveux jusqu'à mes orteils.
Ses lèvres et sa langue ensuite parcoururent, légèrement, mais avec beaucoup d'insistance, l'intérieur de mes cuisses, me rendaient complètement folle, suçant, de temps en temps la mouille abondante de mon minou, sans jamais oublier, à chaque fois, de darder du bout de sa langue l'extrémité sensible de mon clitoris, et souvent succionnait fortement l'entrée de mon vagin, ce qui me mettait encore plus hors de moi. Pour le comble, elle introduisit, en douceur, deux phalanges de son index, très mouillé, par derrière, enfonçant mon bouton de rose qui se détendit presqu'aussitôt pour mieux l'accueillir.
Roger, entre temps, m'embrassait fougueusement, tout en caressant, du bout de ses doigts mes tétons raidis par le désir.
C'était une sensation extraordinaire que d'avoir ma bouche, lascivement fouillée par la langue de Roger, mes tétons agacés par ses doigts, ainsi que deux phalanges très actives me titillant, plantées à l'intérieur de mes fesses et pour le comble, sentir mon minou trempé, être soumis à l'impitoyable merci d'une autre langue experte, celle de Diana.
Je ne savais plus où donner de la tête devant tant d'érotisme concentré sur toute mon anatomie.
Me voyant me trémousser comme une forcenée, gémissant de plus en plus fort. Diana retira son index de mon derrière et sa bouche de mon minou, puis empoigna le membre mouillé de Roger, promenant, à plusieurs reprises son gland sur toute la longueur de ma chatte entrouverte.
C'était comme si j'avais reçu une forte décharge électrique; je tremblais comme une feuille.
Trop excitée pour être cohérente, j'implorais pour qu'il me pénétra plus profondément... j'en avais tellement besoin.
Diana, introduisit le gland dans l'entrée de mon vagin, puis relâcha, pour quelques instants, l'emprise de ses doigts, pour permettre à Roger de me donner un avant-goût d'une vraie pénétration.
Elle s'assit, sur le bord du lit, à mes cotés, et avec cette verge rigide toujours en moi, elle mit une de mes cuisses sur l'épaule de Roger, et me fît étendre l'autre jambe, celle qui était près d'elle, à plat sur le drap, lui donnant ainsi, libre accès a mon clitoris.
Dans cette position, appelée indifféremment "La Stance Persane" ou bien "Le cavalier à la barre" je sentais mon vagin totalement rempli par le membre de Roger, son gland touchant le fond de ma vulve.
C'était aussi le moyen le plus efficace pour que son gland soit en contact intime avec mon "point G", à chaque pénétration......... Cette position m'a toujours régalé des sensations extrêmement intenses, indescriptibles.
Je savais aussi, par expérience, que l'orgasme que me réservait cette "Stance Persane" serait énorme, brutal, sauvage et, par dessus tout, incontrôlable.
Diana posa alors sa main droite sur mon pubis, et moi, pensant qu'elle aller s'occuper de mon bourgeon, m'écartais un peu de Roger, afin qu'elle puisse me caresser plus aisément.
Combien je me trompais sur ses intentions !!.
Aussitôt que sa main se trouva entre nous, elle empoigna, juste à la base du gland, ce membre qui me remplissait, l'empêchant de me pénétrer profondément.
J'eus beau supplier, presser mes reins, mon bassin contre Roger, lui offrir ma croupe ouverte avec des girations désordonnées, rien n'y fit.
La main de Diana permettait que son gland, pénètre seulement à l'entrée de ma vulve, juste assez pour me faire perdre la raison.... Cette invasion minime, dans l'état ou j'étais, ne faisait qu'intensifier mon calvaire.
Le désir qui me brûlait, et le besoin impérieux de sentir, une fois de plus Roger me remplir, tenaillaient intolérablement tout mon bas ventre.
C'est alors que Diana de sa voix sereine me dit: "Darling,if you want to cum with him deep in you, you will have to spend the rest of the night, all alone, in my room " (Chérie, si tu veux jouir avec lui profondément dans toi, tu devra passer le reste de la nuit, toute seule, dans ma chambre.)
Je me rebellais, et refusais catégoriquement ce chantage..... Je refusais de lui céder mon mari pour la nuit..
Elle retira sa main un instant, pour permettre à Roger de s'enfoncer, lentement, encore deux ou trois fois.
Elle agissait de la sorte, surtout, pour m'obliger re-goûter l'extraordinaire sensation de son membre fouillant profondément l'intérieur de mon vagin. Cela ne faisait qu'augmenter mon besoin urgent de le sentir éjaculer en moi.
Puis elle l'empoigna de nouveau.
Mais, cette fois, elle le sortit de mon vagin et caressa avec, son gland, l'intérieur de lèvres de mon minou, et en particulier, mon clitoris.
Elle savait très bien, qu'avec ses doigts enveloppant fermement le membre ruisselant de Roger, elle pouvait nous tourmenter, l'un et l'autre, à satiété et que finalement, si je ne cédais pas, elle pouvait le faire jouir quand, où, et de la manière qu'elle voulait -- quitte même le faire gicler, à vide, en l'air, devant mes yeux, loin de ma chatte abandonnée, me privant de toute jouissance.
Cela aurait été atroce pour tous les deux. Quand à moi, j'étais horrifiée rien qu'à l'idée qu'il soit mené, sans qu'il puisse l'éviter, à éjaculer hors de moi.
J'avais un besoin viscéral de me sentir remplie, de sentir son jet de sperme, chaud, épais, s'épancher et se répandre au fond de ma vulve, pour y apaiser les braises qui consumaient l'intérieur de mon pauvre minou.
Et par dessus tout, je voulais absolument jouir, avec lui dans moi.
Je ne pouvais plus tenir.....
Le regard perdu, d'une voix étranglée, vaincue, je m'entendis murmurer à Diana "OK, I'll go" (d'accord, j'irais).
Elle relâcha sa prise sur le membre qu'elle empoignait.
Immédiatement il me pénétra, très, très lentement, très profondément, à plusieurs reprises, savourant, à l'unisson, chaque pénétration. Nous faisions durer notre extraordinaire plaisir sachant que l'orgasme qui nous guettait, sera, soudain, incontrôlable, sauvage.
Alors, commença, pour Roger et pour moi, une des plus ardues, des plus intenses, des plus brutales, jouissances de notre vie, ponctuée par de longs gémissements de plus en plus aigus.
Quoique je m'y attendait, j'étais anéantie, écroulée, par la violence de mon orgasme. Un lourd soupir rauque marqua la fin de mon paroxysme.
Une fois apaisée, Roger, se retira en murmurant, contrit, tout bas, un: "merci ma chérie, tu nous a bien fait jouir". Il m'embrassa ensuite, tendrement, comme pour se faire pardonner du sort qui m'attendait.
Diana me prit par la main pour me conduire dans sa chambre, puis posa délicatement mon baby-doll sur l'oreiller. Elle frôla avec ses lèvres mes paupières, et me souhaita une bonne nuit, en me précisant quelle laisserait la porte de communication entrouverte pour que je puisse apprécier leurs ébats, mais que, par contre, je n'avais le droit ni de rentrer ni de les regarder......seulement de les écouter....
Seule, abandonnée, sur le lit de Diana, jusqu'aux petites heures du matin, je les entendais faire l'amour en me masturbant, jouissant presque sans arrêt, avec, souvent, deux doigts plantés dans mon vagin.
Je m'endormis, complètement exténuée, ma main toujours entre mes cuisses.
Depuis lors, le souvenir de cette nuit a meublé très souvent mes orgasmes, en solitaire ou avec partenaire. C'est encore, aujourd'hui, l'épisode vécu que je considère être le plus chargé d'érotisme.
Roger, m'avoua, dans l'avion qui nous ramenait à Madrid, qu'il avait tenté, sans y parvenir, de faire jouir Diana avec ses doigts friccionant son "point G", afin de satisfaire son insatiable libido et de laisser un temps de récupération à son pauvre membre qui avait déjà éjaculé trois fois dans la soirée.
Le lendemain, les yeux cernés, mais remis de nos émotions, après un copieux petit déjeuner anglais, une petite promenade dans Hyde Park, en face de l'hôtel, et une tournée chez Harrods, nous abandonnâmes le Lancaster.
Notre avion por Madrid décollait à 16 heures, et nous eûmes juste le temps de raccompagner Diana chez elle, puis aller en vitesse à Heathrow pour retourner la voiture à Avis et embarquer sur notre vol..
Je ne revis Diana, que très brièvement, 20 ans plus tard quand nous vivions dans le sud de l'Angleterre. Elle s'était beaucoup épaissie......
Roger, lui, la rencontra à plusieurs reprises, pendant les trois années suivantes.
Une fois, deux ans plus tard, quand elle habitait Innsbruck, elle descendit, accompagnée d'Andrea et de sa femme Mutti, un couple avec qui elle vivait, le retrouver à Mestre, près de Venise, où il avait un atelier de montage.
Il semble que tous les quatre passèrent une nuit assez agitée..... Diana n'avait pas changé......
Devant ses amis, elle proposa à Roger de la prendre par derrière, pendant que Mutti s'occupait de son minou.
Il accepta, mit le préservatif qu'elle lui offrait, s'étendit sur le dos et la laissa s'empaler lentement sur sa verge jusqu'à ce que celle-ci disparut complètement dans son fondement.
Quand Mutti, les sentit près de l'orgasme, elle accéléra ses caresses sur le clitoris de son amie, et pénétra profondément avec l'autre main sa vulve trempée.
À travers de la souple parois qui séparait le vagin du derrière, elle frotta vigoureusement, avec ses doigts mouillés, le membre de Roger, enfoncé dans les fesses de Diana, lui produisant, immédiatement, une copieuse éjaculation.
Diana à son tour, explosa dans une multiple jouissance, qui la laissa, haletante, inerte, épuisée.
Mutti était vraiment une experte......
C'était la dernière fois que Roger et Diana firent l'amour.
Et moi, je n'ai jamais connu Eileen, mais elle aussi participe souvent à mes phantasmes.....
La saga de Diana était terminée.
Une pensée: Il faudrait rebaptiser le cliché: "Le Péché d'Onan".
Pour nous toutes, il deviendrait: "La Bénédiction d'Onan"
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Grosses bises et à bientôt, Jeanine .