#+title: les-récits-de-jeanine-chapitre-16 #+post_ID: #+post_slug: organisation-de-taches-orgmode #+post_url: https://www.ciperbliss.com/2024/les-récits-de-jeanine-chapitre-16 #+post_title: Les récits de Jeanine - chapitre 16 #+post_tags: #+post_type: post #+post_mime_types: #+post_guid: #+post_status: publish #+post_date_published: <2025-01-31 23:03:33> #+post_date_modified: <2025-01-31 23:03:33> #+post_index_page_roam_id: #+BLOG: cipherbliss_blog qzine_blog * Les récits de Jeanine - chapitre 16 L'hôtel de Bilbao, construit tout au début du vingtième siècle et qui ne montrait son âge que par sa splendeur cossue, nous avait réservé comme de coutume la suite de trois pièces composé d'une grande chambre double, un salon et une salle de bains fin de siècle, le tout isolé du reste des invités par une belle antichambre. Diana emménagea dans le salon, Roger et moi, dans la chambre à coucher. Nous avions tous trop dîné et le voyage nous avait fatigués, pour autant nous nous retirâmes chacun dans nos appartements pour dormir. Demain, s'annonçait comme une journée chargée. Nous devions retrouver Roger, à l'heure du déjeuner, dans un bon restaurant près de l'aéroport pour ensuite nous embarquer, tous les trois, sur l'avion de Londres. La pauvre Diana devait rejoindre son poste à la réception de l'hôtel avant 21 heures, étant de garde cette nuit-la. Le lendemain matin, réveillés assez tôt, Roger me pria de venir le retrouver pendant qu'il prenait son bain. Quoique, au petit matin, je m'étais déjà caressée, j'acceptais ravie de participer, une fois de plus à notre petit rituel matinal. Soudain, Diana frappa à la porte. J'étais surprise, mais pas mécontente, quand Roger lui demanda de rentrer. Elle nous trouva, lui caressant son érection à pleines mains savonnées, et moi, assise sur le rebord de la baignoire, une main enfouie dans mon minou, très près d'aboutir. Ayant déjà basculé, seulement son regard posé sur ma chatte, était suffisant pour déclencher mon orgasme, me faisant jouir, intensément, sans vergogne. Elle s'assit à coté de moi, et se penchant vers Roger, pris la relève, en empoignant son membre. Déjà il commerçait a haleter, quand elle le rinça, et, se penchant un peu plus, pris sa verge dans sa bouche, et, aspirant profondément l'engloutit toute entière au fond de sa gorge. Ses lèvres, par moments, "broutaient" son pubis. Roger, qui n'était pas habitué à une fellation aussi profonde, poussa de gros soupirs, et très vite, son éjaculation secoua violemment tout son corps, alors que la bouche de Diana, enveloppait hermétiquement la base de son gland. Elle avala toute sa décharge, puis étendit sur son visage, les quelques gouttes qui restaient sur ses lèvres Je pris Diana par la main, pour la mener sur notre grand lit, laissant Roger terminer sa toilette et se préparer pour sa réunion. Je l'installais, sur des coussins, étendue sur le bord du lit, les cuisses écartées, les pieds plantés sur le parquet et m'agenouillais entre ses jambes, Elle était trempée. Délicatement je passais ma langue à l'intérieur des lèvres de son minou, que je maintenais très ouvertes avec mes doigts. Je dédaignais pour le moment son imposant bourgeon. J'allais m'occuper de lui plus tard. Diana commença à gémir, se cambra, me présentant son bassin tendu, quémandant plus de caresses. Ses mains, loin d'être inactives, pétrissaient amoureusement ses seins, roulant souvent, entre le pouce et l'index, ses tétons vermeils, en érection. Retirant mes doigts des lèvres de son minou, je plongeais l'index et le médius de ma main droite, jusqu'au fond de ce vagin offert, la paume vers le haut, juste sous ma bouche, face à son clitoris, prenant toujours garde de ne pas le toucher. Mes doigts, fouillaient sa paroi abdominale, en quête de cette minuscule parcelle rugueuse ou se trouve l'élusif "point G". Avec mon autre main, je massait son ventre juste au dessus de son mont de Venus. Quand je sentis son corps se raidir, ma bouche se colla enfin sur son minou, et aspirant fortement, je roulais son clitoris entre mes lèvres, tout en redoublant l'activité de mes doigts, tant à l'intérieur de son vagin, comme sur son bas ventre. Avec des cris étranglés, soulevant sa croupe du bord du lit, un jet de mouille inonda ma main. C'était la naissance d'une très, très longue et très intense jouissance qui finalement, la laissa, rendue, inerte, vidée, haletante, et... satisfaite. J'avais découvert son "point G". Diana souriait aux anges, assez surprise par cette nouvelle expérience. La matinée s'écoula avec un peu de "window shopping" (lèche vitrines) en se promenant dans les belles avenues autour de l'hôtel. Le chauffeur vint nous chercher avec les bagages, vers 13 heures, et nous conduit, d'abords au restaurant déjeuner avec Roger, ensuite, tous les trois a l'aéroport pour nous embarquer sur la BEA à destination de Londres.