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Les récits de Jeanine - chapitre 5

Notre chambre était assez incommode. Nous décidâmes de chercher un petit appartement.

J'avais été promue dans mon travail et les affaires de Roger marchaient très fort, donc nous pouvions nous permettre d'améliorer nos pénates.

Par un extraordinaire coup de chance, à moins de 50 mètres de ma petite chambre, sur le même trottoir de ce quartier chic, apparut l'appartement de nos rêves.

Entrée, salon, grande chambre à coucher, salle de bains (avec une baignoire monumentale), et une cuisine complète. Tout ceci situé au troisième étage d'un bel immeuble, fin de siècle.

Nos familles nous aidèrent avec le surplus de leur meubles et, un mois plus tard, nous emménagions dans notre nid.

Notre première nuit "chez nous" restera gravée dans notre mémoire, jusqu'à ce jour.

L'érotisme, à mon avis, est composé de sensations physiques et de sensualités cérébrales, plus ou moins à parts égales.

Un exemple:

Il m'est arrivé de "prendre mon pied", sans me toucher, sans que mon minou n'aie aucun contact, ni extérieur, ni intérieur, avec quoique se soit, étant assise en tailleur, donc avec mes cuisses bien écartées et mes mains sagement posées sur elles…. Quel orgasme, cet après-midi là !!!

Seule, la scène qui se déroulait devant mes yeux, était suffisante pour déclencher ma jouissance.

Je reviendrai plus tard et en détail sur cet épisode.

Revenant à cette nuit là, le facteur cérébral était omniprésent par la sérénité de l'ambiance et le bien être d'un vrai "chez nous".

Roger commença par m'embrasser un peu partout et termina, tout naturellement, entre mes cuisses.

Comme j'avais mouillé à flot, il scella ses lèvres autour de l'entrée de ma vulve, ensuite il aspira en douceur, à plusieurs reprises, ma cyprine.

Le vide, causé par ces aspirations répétés, fit trembler incontrôlablement les parois de mon vagin. C'était si bon que j'en avait presque mal.

Je me sentais défaillir.

Les muscles à l'intérieur de mon pauvre minou, palpitaient furieusement, secoués par les spasmes qui annonçaient l'explosion imminente d'un énorme orgasme.

Alors ses lèvres se déplacèrent vers mon bourgeon gorgé et, décapuchonnant délicatement son extrémité sensible, le suça très, très tendrement. Enfin, par quelques légers frôlements de sa langue, presque imperceptibles, il déclencha ce gigantesque orgasme qui couvait dans mon bas-ventre et qui, par vagues successives, envahit tout mon être.

C'était ma première grande jouissance cunni !!!

Mais, pour étrenner notre première nuit, nous ne pouvions pas en rester là….

Roger avait besoin, lui aussi d'atteindre l'apothéose d'un orgasme bien mérité.

Il s'étendit sur le dos, caressant paresseusement son membre rigide, le gland tout enflé par l'excitation qu'il avait ressenti, lorsque ma mouille avait jailli sur sa langue, inondant sa bouche.

Moi aussi, voulant profiter de cette aubaine, plaquais goulûment mes lèvres contre les siennes, pour savourer, une fois de plus, mon arôme.

J'étais à nouveau follement excitée.

Roger me demanda alors de chevaucher sa verge, qui me pénétra très profondément. Mon clitoris, replet, se blottit tout contre la base du membre sur lequel je m'étais enchâssée et réagissait à chaque frottement de nos bassins.

Tous deux étions très, très prêts, impatients d'atteindre notre jouissance.

Nos orgasmes simultanés explosèrent immédiatement. Nos corps, soudés, brutalement secoués par l'harmonie de nos spasmes, incontrôlables, saccadés. C'était tellement bon !!!

Sa puissante éjaculation inonda le fond de mon vagin.

Ce n'est qu'alors que je sentis les muscles à l'intérieur de mon minou, se relaxer sous l'effet de cette giboulée chaude et onctueuse.

Vivement, dans la salle de bains, je me fis une bonne toilette intime, car la "pilule" ne fit son apparition sur le marché que trois ans plus tard…….

Oops!! je viens de révéler mon âge….