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Les récits de Jeanine - chapitre 12

Roger, en voyage d'affaires à Londres, me téléphona un soir et me demanda si il pouvait inviter, chez nous, à la villa une jeune Rhodésienne, Diana, qu'il avait connu deux jours plus tôt et qui travaillait à la réception de l'hôtel ou il était descendu.

Déjà je voyais une fille, belle, filiforme, couleur d'ébène. Il me détrompa rapidement elle était grande, blonde aux yeux bleus, sculpturale et….. bi-sexuelle.

C'était bien dommage pour Roger qui avait toujours eu la fantaisie de faire l'amour avec une jolie femme noire.

Comme il devait rentrer le surlendemain, et que les enfants étaient en vacances au bord de la mer, je lui suggérais de la ramener avec lui. La chambre des invités serait prête pour l'accueillir.

Le jour de leur arrivée, j'envoyais le chauffeur à l'aéroport les chercher et entre temps je passais la matinée à me dorer au soleil, dans le jardin, sur le bord de la piscine.

Il faisait chaud, mais il m'était impossible de retirer le haut de mon bikini, de peur que les voisins ne viennent me rendre visite par la grille au fond du jardin, qui elle, ne fermait pas bien.

La porte-fenêtre de notre chambre à coucher ainsi que celle de la chambre des invités contigüe, donnait directement sur la piscine. Roger, avec l'architecte, avait disposé la maison de sorte qu'elle borde en demi cercle cet espace. Ainsi toutes les pièces avaient un accès à la piscine.

Bientôt, l'effet aphrodisiaque du soleil me poussa à aller me réfugier dans la chambre des invités, entrant par la porte-fenêtre que j'avais laissée ouverte pour aérer la pièce.

Je retirais mon maillot de bain, pour me vautrer plus à mon aise sur le grand lit.

J'étais toute émoustillée rien qu'à l'idée de connaître Diana, que Roger par téléphone, m'avait minutieusement décrite.

Perverse excitation que celle de me donner du plaisir en pensant à elle, sur son lit, même avant qu'elle ne l'étrenne….

Fébrilement, je fouillais mon entre-jambes, deux doigts de ma main gauche me pénétraient, tandis qu'avec l'autre main je roulais mon clitoris entre le pouce et l'index. Mon minou ne tarda pas à vouloir m'offrir impérativement cette douce récompense qui m'était familière depuis ma tendre jeunesse.

Pour savourer plus longtemps ce plaisir, je me lâchais plusieurs fois, juste avant d'atteindre mon "point de non retour", portant à ma bouche, mes doigts empreints de ma cyprine, dont le goût m'excitait follement..

Au bout d'un long moment, n'y tenant plus, je me terminais fiévreusement, les cuisses très écartées, le bassin cambré, libérant finalement l'orgasme qui me secoua comme une poupée de son,

Je retournais dans notre chambre par la porte de communication, sans oublier de replier le couvre-lit pour cacher la tache faite par ma mouille.

Un paréo sur mon bikini, je m'installais, pour les attendre, sur la terrasse près de la table préparée pour le déjeuner.

Ils ne tardèrent pas à débarquer.

Après les présentations éffusives, j'installais Diana dans sa chambre, ou elle se changea.

Bientôt elle apparut sur la terrasse, en maillot de bains, et piqua une tête dans la piscine pour se rafraîchir avant le déjeuner.

Elle était absolument splendide. Elle ressemblait à Simone Signoret dans le film "les diaboliques".

Svelte, quoique bien en chair, elle avait de grands yeux bleus pervenche, légèrement bridés, des pommettes saillantes et des cheveux coupés assez courts, châtain très clair, parsemées de mèches blondes. Ses seins lourds mais pigeonnants et son mont de Vénus très proéminent se devinaient, sous la fine étoffe de son maillot de bains, surtout quand elle grimpait sur l'échelle de la piscine pour sortir de l'eau.

Elle se sécha rapidement, et nous rejoignit à table.

Pendant le déjeuner, je me sentais intriguée, émoustillée même, lorsque Roger raconta, avec désinvolture, ses ébats des derniers jours à Londres avec Diana.

Surtout qu'il avait du changer d'hôtel pour être avec elle, du fait qu'au personnel de la réception, il leur était strictement interdit de passer la nuit dans la chambre d'un invité.

Aussi, Diana l'emmena, un soir, visiter la mecque londonienne d'ambiance lesbienne: "Helen's Club" Elle lui présenta sa tendre amie, la timide Eileen, une jeune irlandaise aux yeux verts, avec un petit corps d'adolescente, très, très brune, et qui l'attendait, patiemment, assise dans un immense fauteuil de cuir.

Ils passèrent, au club, une partie de la soirée, avant de retourner, tous les trois, à l'hotel.

Eileen, qui était follement amoureuse de Diana, aurait fait n'importe quoi pour lui être agréable.

Une fois dans la chambre, incitée par Diana, elle se déshabilla, lentement, un peu gênée, découvrant un joli petit corps aux lignes harmonieuses, des seins juvéniles, à peine formées. Son minou délicat, se devinait sous une toison foncée, assez fournie, qui allait mourir entre ses cuisses, fines et fuselées.

La présence de Roger ne semblait pourtant pas trop l'intimider.

Diana l'embrassa, d'abord en passant délicatement sa langue sur ses lèvres, ensuite, plus fougueusement sur tout le corps, s'attardant un très long moment sur son petit minou offert, luisant de cyprine.

La jeune irlandaise se lovait sus l'effet de cette langue experte qui la fouillait, tout en gémissant doucement.

Enfin, malgré ses protestations, Diana l'abandonna sans la terminer et s'étendit, nue, sur le lit, l'obligeant tendrement à se mettre entre ses cuisses écartées.

Elle lui présenta son mont de Vénus, à deux doigts de son nez, si bien que les lèvres d'Eileen, immédiatement enveloppèrent son gros clitoris, le suçant et l'aspirant goulûment dans sa bouche.

Eileen avide de faire jouir son amour se mit à lécher, frénétiquement, le pourtour de ce sexe offert, ruisselant, n'oubliant pas de darder sa langue, souvent, à l'intérieur de son vagin ouvert.

Diana ne tarda pas à se tendre comme un arc, et avec un long gémissement rauque laissa libre cours à son orgasme.

Enfin, une fois rassérénée Diana embrassa voluptueusement son amie et la pria de laisser Roger, lui faire cunnilingus. Elle y consentit, sans enthousiasme, car elle aurait préféré jouir sous la langue de son aimée.

Diana avertit Roger qu'Eileen étant vierge, il ne devait absolument pas pénétrer sa chatte.

Le pauvre, utilisa toute son savoir-faire pour arracher un orgasme exemplaire à cette toute jeune fille, et malgré les restrictions imposées, réussit à la faire jouir très fort, pendant un long moment.

Il reçut sa récompense sous forme d'un profond soupir étranglé et un jet de mouille chaude sur sa langue.

Après sa jouissance, Eileen se redressa, encore toute tremblante et impulsivement embrassa cette bouche qui lui avait donné tant de plaisir, fouillant avec sa langue tous ses recoins.

Aussitôt après, elle avoua à Diana, comme pour se faire pardonner, que c'était la première fois qu'elle embrassait un homme de cette façon!….

Roger, lui, était resté sans jouir. Diana s'en occuperait plus tard…..

Ils raccompagèrent Eileen chez ses parents et retournèrent tous les deux à l'hôtel pour s'aimer.

Après l'intermède d'Eileen il profita pour pour mettre Diana au courant de mes préférences, et elle se montra impatiente de pouvoir les partager avec moi. Ceci motiva notre conversation téléphonique du lendemain.

Roger lui avait certainement mentionné, entre autre, que j'aimais une subtile domination cérébrale pour retarder mes orgasmes, ou bien, parfois, m'obliger à me faire re-jouir toute seule, aussitôt après m'être déjà fait jouir à plusieurs reprises.

Et, probablement, il lui précisa bien d'autres choses, comme mon goût prononcé à l'auto-érotisme, particulièrement quand on me regardait, soit donc, mes tendances à un exhibitionnisme discret.

Il insista que, jamais, au grand jamais, je n'acceptais de contraintes physiques et que je ne supportais aucune violence, même minime.

Une seule expérience, vécue il y a quelques années, m'avait laissé un très mauvais souvenir, malgré que cela se termina pour moi, par une avalanche d'orgasmes, très intenses, quoique, (ou peut être parce) qu'ils étaient le fruit d'une violence.