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Les récits de Jeanine - chapitre 13

Après avoir déjeuné, une sieste s'imposait. Diana accepta avec empressement de nous rejoindre dans notre chambre.

Prétextant que son bikini était encore humide, elle l'enleva.

Dieu, qu'elle était appétissante toute nue!!

Ses beaux seins avaient de grandes aréoles foncées entouraient ses gros tétons couleur rouge vif, qui pointaient déjà, engorgées.

Une toison blonde, fine est soyeuse, voilait à peine les grosses lèvres charnues de son minou, desquelles émergeait, en maître des lieux, son gros bourgeon rose, sous son capuchon plus foncé.

Elle défit mon paréo, quitta les deux pièces de mon bikini et me regarda longuement. Je frissonnais de plaisir rien que de sentir ses yeux vrillés sur mon sexe à tel point que j'écartais un peu les cuisses pour offrir toute mon intimité à son regard. Sans un attouchement, sans même le moindre frôlement, elle m'avait excitée tellement, que je sentais déjà ma mouille imbiber ma chatte, entrouverte.

Roger, voyant mon état, lui demanda de me caresser légèrement, lui recommandant surtout d'éviter que je jouisse.

Elle fit mieux. Sa langue rejoignit ses doigts pour tourmenter mon minou. Un autre doigt s'aventura vers l'arrière et me titilla mon bouton de rose.

C'était si bon, qu'une violente vague de plaisir ondula au long de mon épine dorsale. Je tremblais comme une feuille.

Elle était experte en la matière, car jamais auparavant, je ne m'étais balancée, aussi longtemps et aussi près, du bord de l'orgasme, sans pouvoir, ni de le goûter, ni de l'atteindre.

Malgré mes protestations, elle me lâcha et se retira complètement d'entre mes cuisse écartés, mon clitoris palpitant furieux, l'entrée de mon vagin trempé, en proie à des convulsions incontrôlables.

Roger m'ordonna gentillement de m'asseoir en tailleur et d'appuyer mon dos sur le dossier du lit. Je m'exécutais.

Il s'étendit en travers du lit et Diana, à califourchon, s'emmancha sur son membre, qui disparut entièrement succionné par son vagin avide. Lentement avec des mouvements impérieux de va-et-viens, elle aspirait la verge de mon pauvre Roger qui gémissait de plaisir. Avec ses doigts, tels les élytres d'une libellule, elle frôlait délicatement son imposant clitoris, avec la même cadence frénétique que les ailes cette libellule en plein vol.

Ils se trouvaient, tous les deux, sur le point de jouir, regardant fixement ma chatte, offerte, vide, trempée.

De les savoir, eux, si près de l'orgasme, moi, n'y tenant plus, j'aventurais discrètement une main vers mon minou pour me soulager.

D'une voix douce, mais ferme, plantant son regard bleu dans mes yeux, Diana me dit: "Darling, please don't play with yourself now" (Je te prie, ma chérie, ne te caresse pas maintenant).

En rechignant, je posais sagement mes mains sur mes cuisses.

À les voir haleter, gémir, leur mouvements de plus en plus saccadés, je sentais bien qu'ils allaient jouir immédiatement.

Moi, j'étais arrivée à l'apogée du paroxysme en les regardant, et soudain, sans crier gare, je sentis mon vagin se contracter à plusieurs reprises et un immense orgasme explosa dans les profondeurs de mon ventre. C'est une sensation absolument inouïe que de jouir "à vide". Sensation qui me collapsa, me plia en deux, et secoua vigoureusement tout mon corps, une jouissance extrêmement puissante, quoique incomplète.

Ils me regardaient, offerte, incohérente, jouissant comme une forcenée, avec mes cuisses très écartées, mes mains sagement posées sur elles, mon minou ruisselant.

Ceci déclencha leurs orgasmes. Tous les trois, nous avions joui en même temps, à l'unisson.

Reprenant nos esprits, Diana me susurra "Darling, you were amazing".

Avec cette phrase passe-partout les anglo-saxons expriment souvent leur approbation. Un petit peu comme "Ma chérie, tu as été formidable".

Roger me dit plus tard qu'il était fasciné de voir qu'en jouissant, l'entrée de mon vagin se contractait violemment, plusieurs fois, puis se couvrait d'une épaisse mousse opaque, l'aspirait à nouveau, pour enfin l'expulser comme une éjaculation !!!

Nous étions moulus, repus. Diana retourna dans sa chambre, laissant la porte de communication entrouverte. Roger après m'avoir embrassée tendrement s'endormit paisiblement.