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Les récits de Jeanine - chapitre 14

Depuis déjà un bon moment, je ressentais un désir impérieux de "goûter" Diana, de rouler son clitoris entre mes lèvres, de la sentir jouir, de sentir sa mouille gicler sur ma langue…. Et elle devait encore avoir l'arôme de Roger en elle…..

N'y tenant plus, je poussais la porte et me retrouvais à ses cotés.

Elle ne sembla pas surprise par ma visite, Roger l'ayant probablement alertée de mon penchant pour faire minette à une femme qui m'excite, quand je la désire.

Après un léger baiser effleurant ses lèvres, je l'embrassais tendrement dans le cou, puis descendis ma bouche sur ses seins doux et fermes, que je pétrissait lentement avec mes doigts.

Je suçais tendrement ses tétons chauds, en érection et les mordillais de mes lèvres, avec amour, arrachant du fond de sa gorge un long gémissement de plaisir.

Enfin, descendant vers le bas du lit, je m'installais entre ses cuisses ouvertes pour me recevoir, j'écartais les lèvres enflées de sa chatte en les massant délicatement et posais enfin ma bouche sur son minou, respirant son délicieux arôme légèrement musqué.

J'étais au septième ciel, roulant, entre mes lèvres, son beau clitoris, tout en aspirant à l'entrée de son vagin sa cyprine qui coulait à flots.

Elle gémissait de plus en plus fort.

Tout son corps ondulait, secoué par les vagues de plaisir que lui procuraient ma langue, mes lèvres. Elle voulait jouir et le proclamait avec des petits cris….Yes…Yes…Yessss… oh please….

Mon instinct pervers me fit ralentir les caresses de mes lèvres et de ma langue sur son minou, pour retarder sa jouissance, l'affoler, lui arracher une supplication de plus, la faire durer encore un peu, enfin, la faire languir.

Mais moi aussi je sentais à nouveau un besoin urgent d'aboutir.

Subrepticement ma main droite descendit vers mon entrecuisse, vers mon pauvre minou, avide, trempé et si solitaire.

Le grand miroir sur la porte de l'armoire l'avertit de mes desseins.

À nouveau, de sa voix douce, mais qui n'admettait aucune tergiversation, elle me dit: "Darling, don't touch yourself and don't cum yet, finish me first" (Chérie, ne te fais pas jouir, attends. Termines-moi d'abord). Obéissante, je retirais la main de ma chatte.

Comme j'étais moi aussi presque au bout de mon rouleau, je m'appliquais, par quelques grands coups de langue, à activer l'énorme orgasme qui couvait dans son bas ventre.

La jouissance qui explosa en elle, était si brutale, qu'elle provoqua en moi un mini orgasme, avec les muscles de mes jambes tendus et mes cuisses serrées. . Une fois ses spasmes calmées, elle me pria de me mettre debout devant elle et de m'adosser contre le grand miroir sur la porte de l'armoire.

Elle me demanda ensuite, de me caresser, les jambes suffisamment écartées, de sorte à bien pouvoir apprécier mon minou ruisselant pendant mon orgasme.

Diana, sa tête tournée vers ma chatte, se masturbait elle aussi, étendue sur le dos, les cuisses relevées, toute ouverte, prête a jouir avec moi.

Elle me rendait folle, me regardant me fouiller, fixant ses yeux alternativement sur mes doigts dans mon minou et sur les expressions changeantes de mon visage à l'approche de mon paroxysme imminent.

Souvent, elle épiait aussi, dans le miroir, la réflection de ses propres doigts fébriles, à l'oeuvre sur son clitoris.

Soudain, l'orgasme me fulmina.

Mes jambes flageolantes cédèrent sous moi, et je me retrouvais à genoux sur la moquette, courbée en deux, haletante, mes doigts terminant furieusement ma jouissance.

Elle me rejoint immédiatement avec un râle de plaisir.

Après, câlinement, Diana me releva et me prit dans ses bras. C'était doux, c'était sensuel, c'était paisible. Seule une autre femme pouvait m'offrir une tendresse pareille.

Le sommeil nous surprit enlacées ….

C'est ainsi que nous trouva Roger deux heures plus tard.

Il venait, tenaillé par la faim, pour nous inviter à faire la ronde des tavernes du centre de la ville, qui servaient d'excellentes "tapas".

Rapidement habillées, nous étions prêtes en moins d'un quart d'heure.

Le coeur de la capitale était très animé comme tous les samedi soirs. Diana, peu habituée à l'ambiance bruyante, écarquillait les yeux, ravie. Après avoir visité quatre ou cinq établissements, repus, nous reprîmes le chemin de la villa.

Malgré notre sieste, les aventures de la journée nous avaient fatigués, et après un petit câlin, tous au lit, chacun dans sa chambre.

Une fois couchés, Roger m'embrassa tendrement, voluptueusement. J'étais rompue, mais son baiser me redonna un folle envie de faire l'amour avec lui. Lui aussi voulait me prendre, son érection témoin de son désir.

J'empoignais son sexe tout mouillé et avec son gland souple et doux je me caressait le minou.

Il ne pouvait plus tenir longtemps. Il se dégagea et plongea son membre jusqu'au fond de mon vagin.

Cette sensation d'être complètement remplie, me manquait terriblement depuis plus d'une semaine. Nous en avions tellement besoin, l'un et l'autre, que notre jouissance explosa immédiatement, nous laissant K.O.

Roger restait pour moi, toujours, mon seul vrai amour, le maître absolu de mes sens, de mon âme.

Je ne sais pas si nous nous sommes endormis l'un dans l'autre. Mais le matin nous trouva encore dans les bras l'un de l'autre…..