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Les récits de Jeanine - chapitre 15
Le dimanche matin, il faisait un temps clair, calme, et, assez tôt, Roger pris sa moto pour aller au champ d'ultra légers, pas loin de la villa, afin de faire un petit vol sur son monoplace Quicksilver. Il serait de retour dans environs deux heures,
Poussant la porte de communication, je rentrais dans la chambre de Diana pour la réveiller. Encore â moitié endormie, elle m'attira contre elle sous ses draps. Elle avait la peau chaude et douce et je me pelotonnait dans ses bras heureuse de la retrouver.
En un tournemain, nos chemises de nuit s'empilèrent sur la moquette.
Prenant tendrement ma tête entre ses mains, elle embrassa mes cheveux, mon front, frôla avec sa langue mes paupières, mes joues, mon cou, puis remontant par dessous le menton, elle humidifia légèrement mes lèvres qui s'entrouvrirent. Ne pouvant plus tenir, j'aspirais brusquement cette langue qui immédiatement fouilla l'intérieur de ma bouche. Enfin, prenant un peu de recul, je la dardais à mon tour avec ma langue, à la manière d'un doux duel, nos lèvres entrouvertes.
C'était extrêmement sensuel, et je sentais déjà ma chatte se mouiller..
Elle entrelaça ses cuisses avec les miennes, en ciseaux, collant nos minous trempée l'un contre l'autre tout en imprimant un mouvement giratoire à son pubis, que j'accompagnais.
Ma tête toujours entre ses mains, elle guida mes lèvres sur un de ses tétons, dur et enflé, que je suçais avidement, arrachant un long gémissement de plaisir du fond de sa gorge.
Je sentis son clitoris rigide, replet, se nicher tout d'abord entre les lèvres de ma chatte, sur mon bouton, puis enfin se pointer à l'entrée de ma vulve qui réagit avec une série de contractions incontrôlables.
J'avais l'impression qu'une mini verge voulait me pénétrer, et ressentis les feux follets parcourir tout mon bas ventre.
Cette titillation m'affola et mes mouvements devinrent plus brusques, plus saccadés, ce qui déclencha immédiatement la jouissance de Diana ponctuée par un cri rauque, et un profond soupir.
Malheureusement, pour moi, comme par le passé, le "butterfly" des tribades me laissait très excitée, mais seulement sur le bord de l'orgasme, insatisfaite.
C'est, je pense, une question de morphologie, mon mont de Venus n'étant pas assez conséquent, mon clitoris, mes lèvres, pas suffisamment développés .
Alors, désespérée, serrant fortement une des cuisses de Diana entre les miennes, j'y frottais vigoureusement mon minou, tout ruisselant.
Diana, sentant que j'étais sur le point de jouir, fit tressaillir ses muscles en les bandant à plusieurs reprises. Le résultat de ce massage ne se fit pas attendre. Un immense orgasme déferla le long de tout mon corps crispé, et enfin le détendit.
Dieu que c'était bon….! Il nous fallut quelques bonnes minutes pour nous remettre.
Juste le temps d'enfiler nos maillots et de plonger dans la piscine pour nous rafraîchir. Ensuite, un brin de toilette, puis nous habiller, et rejoindre sur la terrasse, Roger, revenu de son petit vol, pour prendre le traditionnel brunch du dimanche.
Vers quatre heures trente, le chauffeur vint nous chercher, tous les trois, avec armes et bagages, pour nous conduire à Bilbao ou Roger avait une réunion importante à son usine le lundi matin.
À sept heures et demi, un peu tôt peut être pour l'Espagne, nous fîmes un arrêt juste avant Burgos pour dîner dans un magnifique hôtel-restaurant. L'agneau et le boudin étaient, comme à l'habitude succulents.