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Les récits de Jeanine - chapitre 17
Notre vol, qui avait du retard, atterrit à Londres seulement passées les 18 heures.
Roger loua une voiture chez Avis, car nous devions, après avoir déposé Diana chez elle, nous rendre a Gosport, près de Southampton.
Diana, était chargée de réserver, deux chambres communicantes a l'hôtel Lancaster pour le surlendemain soir. Nous nous y retrouverions dans le hall vers 19 heures pour emménager et puis aller dîner dans un restaurant chinois très connu, le Chelsea Rendez-vous.
Roger tenta de la convaincre d'inviter Eileen à se joindre à nous pour dîner, puis au Lancaster, mais elle refusa, probablement jalouse de l'impact que Roger avait laissé sur sa petite amie.
Quel dommage, car moi, j'aurais tant aimé faire l'amour avec cette jeune vierge, la faire bien jouir, tout en respectant son hymen intact….. J'étais sure qu'elle l'offrirait un jour à Diana en gage de son amour pour elle.
Il était presque dix heures lorsque, installés à l'hôtel de Gosport, nous nous fîmes servir un petit dîner dans notre chambre: juste un peu de saumon fumé Écossais et une belle sole de Douvres meunière partagée.
Après dîner, un brin de toilette, et au lit.
Je me pelotonnait tout contre lui, non pas parce que j'avais froid, mais parce que j'avais besoin de sentir son corps, sa peau sur la mienne.
Je lui racontais ma matinée, avec Diana a l'hôtel de Bilbao. Cela l'excita beaucoup d'apprendre que j'avais réussi à la faire jouir en caressant son "point G " tant avec mes deux doigts à l'intérieur de son vagin, comme avec la paume de mon autre main appuyant légèrement sur son bas ventre. Il apprécia particulièrement le fait qu'elle ait eu une grosse éjaculation de cyprine dans ma main.
Il se retenait pour ne pas aboutir prématurément, et me donner le temps de le rejoindre,
Je lui contais aussi mon phantasme avec Eileen, et il renchérit en me disant que le phantasme qu'il imaginait avec elle était beaucoup plus cruel, puisque sa fantaisie s'achevait avec Eileen se dépucelant elle même, en prenant mille précautions, ses doigts trempés par sa mouille s'enfonçant très lentement dans son minou.
Elle gardait ses belles cuisses bien écartées, pour se montrer à lui, mais tournant le dos à Diana qui, elle, avait tout fait pour la préserver vierge.
Son autre main qui caressait son petit bouton, déclencha sa jouissance, au même instant où ses doigts, qui la fouillaient, disparaissaient complètement dans son vagin..
Sa fantaisie était tellement, tellement diabolique, que nos orgasmes, qui se déclenchèrent brutalement, étaient extrêmement sensuels. Il nous fallut une bonne dizaine de minutes pour nous remettre.
Le sommeil du juste nous surprit bientôt enlacés à nouveau.
Le lendemain nous devions nous rendre auprès d'un chantier naval de plaisance, de renommé mondiale, pour vérifier l'état d'avancement du yacht que Roger faisait remettre à neuf et qui, le jour suivant, devait faire son épreuve de navigation avec nous à bord… Deux grandes journées en perspective.
Sid, notre capitaine, vint, avec sa femme, nous chercher à l'hôtel vers dix heures pour nous mener au chantier.
Le yacht était déjà a l'eau dans un bassin de carène, les ouvriers, les peintres, les mécaniciens, tous s'affairaient pour terminer leur besogne.
Il paraissait énorme, massif, avec ses 27 mètres de long, ses deux ponts superposés, en teck de Birmanie, le tout couronné par les paraboliques des radars.
Toute ma journée fut a peine suffisante pour faire les inventaires, les listes d'approvisionnements etc, tandis que Roger s'occupait, avec les ingénieurs du chantier et avec le capitaine à résoudre les problèmes techniques de dernière heure.
Notre lit, ce soir-la nous trouva moulus, épuisés par notre journée.
Le grand jour de l'épreuve de navigation nous accueillit avec un temps radieux, seule une petite brise rafraîchissait l'atmosphère. Les tests s'avèrèrent assez satisfaisants, et Sid avait 15 jours pour s'assurer que tout soit en parfait ordre de marche, prêt pour le voyage vers son port d'attache aux îles Baléares.
Nous étions de retour à Londres vers 18.30. Nous nous installâmes a l'hotel Lancaster avec Diana, qui nous y attendait.
Le dîner au Chelsea Rendez-vous était excellent. Une cuisine Chinoise raffinée mais très légère.
De retour à l'hôtel, Diana se déshabilla dans sa chambre et ensuite vint nous rejoindre, par la porte de communication, portant seulement une nuisette ultra courte et transparente.
Ce voile la rendait encore plus désirable..
Elle nous conta qu'elle avait passé la soirée précédente et une partie de la nuit, avec Eileen lui donnant tous les détails de son escapade en Espagne. Malheureusement, après leurs ébats, elle avait du la raccompagner chez ses parents, et avait terminé la nuit seule avec son imagination…..
Laconiquement, Roger lui dit que le soir de notre arrivée, elles aussi avaient été dans nos pensées, sans trop élaborer si il fallait entendre "elle" ou "elles"….
Elle m'enleva mon baby-doll et sa nuisette rapidement le rejoint sur la chaise. Son corps, ses seins, son minou, me faisait, comme toujours mouiller, rien qu'a les regarder.
Je m'allongeais, la tète sur le traversin, et Diana entreprit de me caresser tout le corps, depuis mes cheveux jusqu'à mes orteils.
Ses lèvres et sa langue ensuite parcoururent, légèrement, mais avec beaucoup d'insistance, l'intérieur de mes cuisses, me rendaient complètement folle, suçant, de temps en temps la mouille abondante de mon minou, sans jamais oublier, à chaque fois, de darder du bout de sa langue l'extrémité sensible de mon clitoris, et souvent succionnait fortement l'entrée de mon vagin, ce qui me mettait encore plus hors de moi. Pour le comble, elle introduisit, en douceur, deux phalanges de son index, très mouillé, par derrière, enfonçant mon bouton de rose qui se détendit presqu'aussitôt pour mieux l'accueillir.
Roger, entre temps, m'embrassait fougueusement, tout en caressant, du bout de ses doigts mes tétons raidis par le désir.
C'était une sensation extraordinaire que d'avoir ma bouche, lascivement fouillée par la langue de Roger, mes tétons agacés par ses doigts, ainsi que deux phalanges très actives me titillant, plantées à l'intérieur de mes fesses et pour le comble, sentir mon minou trempé, être soumis à l'impitoyable merci d'une autre langue experte, celle de Diana.
Je ne savais plus où donner de la tête devant tant d'érotisme concentré sur toute mon anatomie.
Me voyant me trémousser comme une forcenée, gémissant de plus en plus fort. Diana retira son index de mon derrière et sa bouche de mon minou, puis empoigna le membre mouillé de Roger, promenant, à plusieurs reprises son gland sur toute la longueur de ma chatte entrouverte.
C'était comme si j'avais reçu une forte décharge électrique; je tremblais comme une feuille.
Trop excitée pour être cohérente, j'implorais pour qu'il me pénétra plus profondément… j'en avais tellement besoin.
Diana, introduisit le gland dans l'entrée de mon vagin, puis relâcha, pour quelques instants, l'emprise de ses doigts, pour permettre à Roger de me donner un avant-goût d'une vraie pénétration.
Elle s'assit, sur le bord du lit, à mes cotés, et avec cette verge rigide toujours en moi, elle mit une de mes cuisses sur l'épaule de Roger, et me fît étendre l'autre jambe, celle qui était près d'elle, à plat sur le drap, lui donnant ainsi, libre accès a mon clitoris.
Dans cette position, appelée indifféremment "La Stance Persane" ou bien "Le cavalier à la barre" je sentais mon vagin totalement rempli par le membre de Roger, son gland touchant le fond de ma vulve.
C'était aussi le moyen le plus efficace pour que son gland soit en contact intime avec mon "point G", à chaque pénétration……… Cette position m'a toujours régalé des sensations extrêmement intenses, indescriptibles.
Je savais aussi, par expérience, que l'orgasme que me réservait cette "Stance Persane" serait énorme, brutal, sauvage et, par dessus tout, incontrôlable.
Diana posa alors sa main droite sur mon pubis, et moi, pensant qu'elle aller s'occuper de mon bourgeon, m'écartais un peu de Roger, afin qu'elle puisse me caresser plus aisément.
Combien je me trompais sur ses intentions !!.
Aussitôt que sa main se trouva entre nous, elle empoigna, juste à la base du gland, ce membre qui me remplissait, l'empêchant de me pénétrer profondément.
J'eus beau supplier, presser mes reins, mon bassin contre Roger, lui offrir ma croupe ouverte avec des girations désordonnées, rien n'y fit. La main de Diana permettait que son gland, pénètre seulement à l'entrée de ma vulve, juste assez pour me faire perdre la raison…. Cette invasion minime, dans l'état ou j'étais, ne faisait qu'intensifier mon calvaire.
Le désir qui me brûlait, et le besoin impérieux de sentir, une fois de plus Roger me remplir, tenaillaient intolérablement tout mon bas ventre.
C'est alors que Diana de sa voix sereine me dit: "Darling,if you want to cum with him deep in you, you will have to spend the rest of the night, all alone, in my room " (Chérie, si tu veux jouir avec lui profondément dans toi, tu devra passer le reste de la nuit, toute seule, dans ma chambre.)
Je me rebellais, et refusais catégoriquement ce chantage….. Je refusais de lui céder mon mari pour la nuit..
Elle retira sa main un instant, pour permettre à Roger de s'enfoncer, lentement, encore deux ou trois fois.
Elle agissait de la sorte, surtout, pour m'obliger re-goûter l'extraordinaire sensation de son membre fouillant profondément l'intérieur de mon vagin. Cela ne faisait qu'augmenter mon besoin urgent de le sentir éjaculer en moi.
Puis elle l'empoigna de nouveau.
Mais, cette fois, elle le sortit de mon vagin et caressa avec, son gland, l'intérieur de lèvres de mon minou, et en particulier, mon clitoris.
Elle savait très bien, qu'avec ses doigts enveloppant fermement le membre ruisselant de Roger, elle pouvait nous tourmenter, l'un et l'autre, à satiété et que finalement, si je ne cédais pas, elle pouvait le faire jouir quand, où, et de la manière qu'elle voulait – quitte même le faire gicler, à vide, en l'air, devant mes yeux, loin de ma chatte abandonnée, me privant de toute jouissance.
Cela aurait été atroce pour tous les deux. Quand à moi, j'étais horrifiée rien qu'à l'idée qu'il soit mené, sans qu'il puisse l'éviter, à éjaculer hors de moi.
J'avais un besoin viscéral de me sentir remplie, de sentir son jet de sperme, chaud, épais, s'épancher et se répandre au fond de ma vulve, pour y apaiser les braises qui consumaient l'intérieur de mon pauvre minou.
Et par dessus tout, je voulais absolument jouir, avec lui dans moi.
Je ne pouvais plus tenir…..
Le regard perdu, d'une voix étranglée, vaincue, je m'entendis murmurer à Diana "OK, I'll go" (d'accord, j'irais).
Elle relâcha sa prise sur le membre qu'elle empoignait.
Immédiatement il me pénétra, très, très lentement, très profondément, à plusieurs reprises, savourant, à l'unisson, chaque pénétration. Nous faisions durer notre extraordinaire plaisir sachant que l'orgasme qui nous guettait, sera, soudain, incontrôlable, sauvage.
Alors, commença, pour Roger et pour moi, une des plus ardues, des plus intenses, des plus brutales, jouissances de notre vie, ponctuée par de longs gémissements de plus en plus aigus.
Quoique je m'y attendait, j'étais anéantie, écroulée, par la violence de mon orgasme. Un lourd soupir rauque marqua la fin de mon paroxysme.
Une fois apaisée, Roger, se retira en murmurant, contrit, tout bas, un: "merci ma chérie, tu nous a bien fait jouir". Il m'embrassa ensuite, tendrement, comme pour se faire pardonner du sort qui m'attendait.
Diana me prit par la main pour me conduire dans sa chambre, puis posa délicatement mon baby-doll sur l'oreiller. Elle frôla avec ses lèvres mes paupières, et me souhaita une bonne nuit, en me précisant quelle laisserait la porte de communication entrouverte pour que je puisse apprécier leurs ébats, mais que, par contre, je n'avais le droit ni de rentrer ni de les regarder……seulement de les écouter….
Seule, abandonnée, sur le lit de Diana, jusqu'aux petites heures du matin, je les entendais faire l'amour en me masturbant, jouissant presque sans arrêt, avec, souvent, deux doigts plantés dans mon vagin.
Je m'endormis, complètement exténuée, ma main toujours entre mes cuisses.
Depuis lors, le souvenir de cette nuit a meublé très souvent mes orgasmes, en solitaire ou avec partenaire. C'est encore, aujourd'hui, l'épisode vécu que je considère être le plus chargé d'érotisme.
Roger, m'avoua, dans l'avion qui nous ramenait à Madrid, qu'il avait tenté, sans y parvenir, de faire jouir Diana avec ses doigts friccionant son "point G", afin de satisfaire son insatiable libido et de laisser un temps de récupération à son pauvre membre qui avait déjà éjaculé trois fois dans la soirée.
Le lendemain, les yeux cernés, mais remis de nos émotions, après un copieux petit déjeuner anglais, une petite promenade dans Hyde Park, en face de l'hôtel, et une tournée chez Harrods, nous abandonnâmes le Lancaster.
Notre avion por Madrid décollait à 16 heures, et nous eûmes juste le temps de raccompagner Diana chez elle, puis aller en vitesse à Heathrow pour retourner la voiture à Avis et embarquer sur notre vol..
Je ne revis Diana, que très brièvement, 20 ans plus tard quand nous vivions dans le sud de l'Angleterre. Elle s'était beaucoup épaissie……
Roger, lui, la rencontra à plusieurs reprises, pendant les trois années suivantes.
Une fois, deux ans plus tard, quand elle habitait Innsbruck, elle descendit, accompagnée d'Andrea et de sa femme Mutti, un couple avec qui elle vivait, le retrouver à Mestre, près de Venise, où il avait un atelier de montage.
Il semble que tous les quatre passèrent une nuit assez agitée….. Diana n'avait pas changé……
Devant ses amis, elle proposa à Roger de la prendre par derrière, pendant que Mutti s'occupait de son minou.
Il accepta, mit le préservatif qu'elle lui offrait, s'étendit sur le dos et la laissa s'empaler lentement sur sa verge jusqu'à ce que celle-ci disparut complètement dans son fondement.
Quand Mutti, les sentit près de l'orgasme, elle accéléra ses caresses sur le clitoris de son amie, et pénétra profondément avec l'autre main sa vulve trempée.
À travers de la souple parois qui séparait le vagin du derrière, elle frotta vigoureusement, avec ses doigts mouillés, le membre de Roger, enfoncé dans les fesses de Diana, lui produisant, immédiatement, une copieuse éjaculation.
Diana à son tour, explosa dans une multiple jouissance, qui la laissa, haletante, inerte, épuisée.
Mutti était vraiment une experte……
C'était la dernière fois que Roger et Diana firent l'amour.
Et moi, je n'ai jamais connu Eileen, mais elle aussi participe souvent à mes phantasmes…..
La saga de Diana était terminée.
Une pensée: Il faudrait rebaptiser le cliché: "Le Péché d'Onan". Pour nous toutes, il deviendrait: "La Bénédiction d'Onan" . Grosses bises et à bientôt, Jeanine .